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| Sujet: (m/libre) BOB MORLEY Ven 13 Mar - 19:46 | |
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REVEN OSLOW He died, no bitch, don't even fuckin' bother I wanted a brother my mother I told her © tyler et whatswrongwithalittlechaos
- nom complet : reven oslow. - âge : vingt-neuf ans, trente ans max. - origines et nationalité : au choix. - occupation, situation financière : agent d'entretien (jardinier) chez les carrillo, revenu moyen. - statut civil : célibataire de préférence, mais en couple ou autre ça peut corser le truc. - orientation sexuelle : hétérosexuel. - traits de caractère : impulsif, franc, respectueux, loyal, caractériel, rancunier, passionné, fidèle, possessif, entier, réaliste, simple, honnête, jaloux. - quartier de résidence : au choix. - groupe : au choix. - avatar : bob morley. red, white, blue is in the sky, summer's in the air L'histoire est entièrement libre. Ils ne se connaissent que depuis un mois, alors tout ce qu'il s'est passé avant est pour vous. Il peut très bien venir d'une famille riche et avoir été déshérité, ou alors venir des bas quartiers de Belmont Springs, c'est comme vous le sentez. Tant que l'idée globale du lien, le caractère et tout sont respectés, tout me va. come on baby, now tell me i'm your national anthemLe jour, la nuit. La lune, le soleil. L'ombre, la lumière. Tout les oppose, tout les rassemble. En un regard, en un frôlement ils ont su. Su que l'eden était à portée de main, compris qu'il ne fallait plus chercher bien loin. Elle en haut de l'échelle, lui en bas, ç'en serait presque un cliché. Mais la brune n'est pas de celle qui croit aux contes de fées. Sa position ne le lui permet pas, ses ambitions ne lui permettent pas. Elle observe, de loin, cet homme qu'elle apprend à connaître, qu'elle apprend à aimer. Lentement, doucement. Sûrement. Et il l'observe, ce petit bout de femme impétueux qui tient les ficelles d'un monde bien dangereux, bien trop pour une aussi jolie princesse. Il l'observe contrôler son monde, il l'observe changer de comportement vis à vis de lui. Elle s'adoucit, baisse la garde, et il apprend à aimer ce qu'il voit en dessous. Il va causer sa perte, et elle le sait. Et elle le veut.- les extraits:
Querida, ven aqui! Tu ronchonnes, t'enroules dans ta couette. Pour une fois que tu pouvais flâner, traîner, glander, il était inadmissible que quelqu'un te réveille. Qui que ce soit. Tu descends ou c'est moi qui viens te chercher? Tu reconnais la voix paternelle, et à la seule pensée du soufflon que tu pourrais prendre, tu sors d'un bond du lit. Et c'est en jogging, les cheveux emmêlés, les yeux gonflés de ta réunion de la veille que tu descends au rez-de-chaussée. Maugréant, marmonnant, mais assez bas pour qu'il ne t'y prenne pas. Carrillo père, ça ne plaisante pas. Je te présente le nouveau jardinier, il remplacera Pedro jusqu'à ce que ce dernier revienne. Du moins s'il revient. Tu avises le nouvel arrivant d'un oeil critique, glacial. C'est à cause de lui qu'on te réveille aussi tôt? Sans blague. Et le nouveau il veut quoi, une piña colada de bienvenue? Tu es cinglante, et bien plus encore lorsque tu es de mauvaise humeur. Ton père s'affaire à autre chose, il a l'habitude de tes sarcasmes. Il faut bien que tu te fasses les dents. Le petit nouveau il veut juste que princesse lui montre les jardins. Soufflée. Tu dois avouer que tu ne t'attendais pas à ce qu'il ose, à ce qu'il dise quoique ce soit. N'importe qui se serait fait le plus petit possible, et aurait attendu que l'orage passe. S'il passe un jour. Tu croises les bras, t'adossant contre la porte. Tu ne te gênes pas pour l'observer à loisir, le jauger, l'estimer. T'as tout d'un survivant toi, pas vrai? Il ignore ta question, regarde sa montre d'un air nonchalant, s'impatiente. La provocation. Ton terrain de jeu préféré. Que le meilleur gagne. Suis moi champion, que tu profites de ta seule et unique journée ici. Tous les gosses de riches sont aussi insupportables que toi? Tu fais volte face, tu es proche de lui, beaucoup trop, mais tout est prévu, calculé, dans les moindres détails. Comme toujours. Non trésor, je suis la pire. Et tu pinces doucement sa joue, un sourire forcé au visage. Non, il ne tiendra pas la journée. Tu lui fais vaguement faire le tour du propriétaire avant de l'abandonner aux autres agents d'entretien. Sans un mot, sans un regard tu t'échappes, oubliant presque immédiatement son existence. Vraiment? Non. Absolument pas. Tu ne peux te l'enlever de la tête, à dire vrai. Il a tout ce qui te plaît chez un homme. Du mordant, des tripes, de l'indifférence. Et un joli minois.
L'obscurité s'est installée depuis bien longtemps, il ne doit pas être plus de trois heures du matin. Mais tu ne parviens pas à dormir, tu te tournes et te retournes, souffles, râles, t'arraches les cheveux, et finis par te lever. Au diable le sommeil, ton corps ne le voulait pas. Ta tête non plus. Les nuits commencent à se réchauffer, et c'est pieds nus que tu descends dans la cuisine te servir un jus d'orange, attrapant au vol ton paquet de cigarettes. Ce truc là va te tuer. Tu t'installes sur la terrasse, brûlant le bout de la clope, aspirant la satisfaction d'être dehors, et l'impatience ne pas avoir réussi à trouver le sommeil. Comme tant d'autres nuits en ce moment. Tu vires ta conscience d'un coup de pied au derrière, pas de sermon, ce n'était pas le moment. Des bruits de pas approchant te font te raidir, tu te lèves presque instantanément. Tu n'es pas armée, mais tu peux aisément casser un bras. Ou mordre une main. Relax princesse, je ne suis pas là pour te tuer. Enfin, pas encore. Tu pestes dans ta barbe, reprenant place sur la chaise. T'aurais pas bouffé un clown toi? Il ricane et prend place face à toi, étendant ses jambes paresseusement. Je t'en prie, fais comme chez toi. Merci. Tu te surprends presque à esquisser un sourire. Il a tellement d'aplomb, tellement de culot que tu en viendrais presque à l'apprécier. Cela fait à présent un mois qu'il bosse pour toi, pour vous, et il ne s'est pas passé un seul jour sans que vous n'échangiez un regard, une insulte, une bourrasque. Son pied vient rencontrer le tien, par hasard, sans faire exprès. Tu sais que certains sont morts pour moins que ça. Il sourit et croise les bras derrière sa tête, nonchalant. A croire que tu m'aimes bien alors? Ton petit sourire en coin glisse de ton visage, et tu remercies l'obscurité de ne pas montrer le rouge de tes joues. Oui, tu l'appréciais. Beaucoup, probablement trop. Tu avais ce pincement au coeur lorsque tu l'apercevais au loin, cet espoir qu'il croise ton regard, cette impatience qu'il te découvre. Et tu avais peur de ces nouveaux désirs, de ces changements. Tu avais peur car tu n'en voulais pas. Tu ne veux pas être faible. Jamais.
- informations supplémentaires:
Le pseudo est négociable, j'trouvais que ça sonnait bien à mes oreilles, mais je peux concevoir qu'il puisse être vilain. Pour l'avatar j'avais pensé à Bob Morley en premier choix, sinon Sebastian Stan, Ben Barnes, Boyd Holbrook, Shiloh Fernandez, mais s'ils ne vous plaisent pas allez-y, faites moi rêver. Pour le reste laissez-vous aller, on va les faire valser ces deux là.
Dernière édition par Nicole Carrillo le Dim 15 Mar - 14:18, édité 1 fois |
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Selina Halsey Throw her to the wolves, she will return leading the pack.
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| Sujet: Re: (m/libre) BOB MORLEY Dim 12 Avr - 20:24 | |
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