■ deep in the forest of my soul.

- nom complet : Né d'un père et d'une mère aimante, il a perdu sa mère très jeune et s'est retrouvé à vivre avec son père qui fut du mieux qu'il pu, en l'élevant seul. Il porte donc son nom de famille, Prewett, bien qu'il n'en est pas très fan. Son prénom, Aiten, aurait pu être autre chose comme Aiden, mais sa mère voulait de l'originalité alors son père a trouvé ce simple prénom. Il a un second prénom banal, William, qu'il n'utilise jamais. - âge, date et lieu de naissance : 26 ans, il grimpera d'un âge le premier Août. Il est originaire de Newport Beach, bien qu'il est vécu une majeur partie de sa vie entre le job de son père à Belmont Springs, et sa vie à Newport. - origines et nationalité: Américain, il a des ancêtres espagnoles du côté de sa mère. - occupation et situation financière : Ayant étudié pour devenir infirmier, le boulot de son père, major d'homme pour les Whitelaw, a fait en sorte qu'il a obtenu un meilleur salaire en tant que chauffeur. Il conduit donc souvent les enfants. Il a un salaire modeste, bien que petit, il ne se plaint pas à son patron. - statut civil : Célibataire, en quelque sorte. - orientation sexuelle : Perdu entre deux eaux, il ne sait pas exactement sur quel pied danser. - traits de caractère : Charmant, anxieux, enfantin, très mature pour son âge, posé, intelligent, soucieux, adorable, chiale pour un rien, protecteur, sensible. - quartier de résidence : Jamboree Road. - groupe : Underdog.

( my silver spoon has fed me good )
Il était le garçon populaire au lycée malgré son statut social; avec veste en cuir, tee-shirt avec un décolleté en V et autre. Ce style n'a toujours pas changé d'ailleurs. ■ Il a fait partie de l'équipe de baseball de l'Université lorsqu'il était infirmier. Il pratique encore ce sport. ■ Il a une grande famille mais ces connaissances s'arrête à son père. Sa mère avait une grande famille, mais depuis qu'il a déménagé à Belmont Springs officiellement, plus rien. ■ Il a toujours eu la frousse de se marier, de s'engager dans quoique ce soit en fait. Du plus loin qu'il se souvienne, il se voyait finir sa vie seul avec un gros chien qu'il aimerait de tout son coeur. ■ Aiten a sorti avec des filles, mais malgré ça il est perdu niveau orientation. Il se calcule comme homosexuel et même son père lui a dit qu'il n'y avait pas de mal à l'être. Mais il a un blocage. ■ Il est passionné par les voitures, les motos et les engins qu'on peut conduire. Il aurait adoré devenir pilote de course mais la chance n'a pas tournée en sa faveur et il travaille pour la famille Whitelaw maintenant. ■ ■ Il n'a pas de regret, c'est sa devise personnel que sa famille lui a transmis. Aiten prend le blâme quand il faut, quand il croit eu tout faux. Et lorsque c'est positif, pas besoin d'avoir de regret bien évidemment. ■ Il n'a pas d'allergie connu, mais n'hésite pas à dire allergique lorsqu'il ne veut pas mangé quelque chose qu'il déteste. ■ Il est bien obligé de se tenir au courant de la technologie, il possède une tablette iPad, un iPhone et a un MacBook Air comme ordinateur. ■ Il a un tattoo en bas de son aisselle gauche soit la date de l'anniversaire de décès de sa mère, le sept en chiffre romain: VII. Bien que morbide, il l'utilise comme rappel puisqu'elle est décédé de sa bataille contre le cancer.

strong enough to leave you weak enough to need you. cared enough to let you walk away I took that dirty jacket from the trash right where you left it cause I couldn’t stand to see it go to waste

Il lui donna des baisés dans le cou, elle souriait penchant la tête pour lui donner plus d'accès. Il l'aimait plus que tout, et de même pour elle. Ils avaient commencé par être amis, puis par être un couple. Pourtant, jamais ni un ni l'autre ne s'étaient dit ces mots magique, ceux qui normalement étaient dit pas des amoureux. Ces mots que tous et chacun rêvent d'entendre sortir de la bouche de leur bien-aimé. Jamais il ne se sentit capable de lui dire. Il ne lui démontrait pas beaucoup, il était un simple petit-ami qui ne répondait pas à la plupart des standards. Il préférait regarder un match de foot à la télévision plutôt que d'accompagné sa petite-amie dans des bars, de l'amener mangé quelque chose dans un restaurant. S'il avait un jour été gentleman et romantique, rien n'en restait de ce lui d'avant aujourd'hui. Chaque jour il la perdait, il le savait. Elle lui filait entre les mains, et lui comme un pauvre idiot ne pouvait pas la retenir, il en était incapable. Nul ne savait ce qui lui prenait de l'ignorer, de ne pas être là pour elle. Quelques fois, elle le regardait en attendant qu'il lui parle, qu'il ne daigne lui montré qu'un regard, qu'un geste d'affection. Ils avaient beaucoup plus l'apparence de colocataires qui dormaient dans le même lui qu'autre chose. Ils ne couchaient même plus ensemble depuis quelques mois, seulement quelques baisés simplet par ci et par là. La journée où Aiten le réalisa, il fût un peu trop tard pour réparé, pour changé, pour la retenir. Charlotte venait de rentré à l'appartement après sa soirée au bar. Lorsqu'elle aperçut le regard de Aiten sur elle, elle tressaillit. De son côté, il fronçait les sourcils. Il était là, debout, à la regarder habillé d'une chemise blanche et d'une jupe courte noire. Elle ne revenait certainement pas d'un bar. « Oh bonsoir. Tu m'attendais? » dit-elle d'une petite voix dans laquelle Aiten décerna un brin d'incertitude. « Ouais, c'est ça. » Son regard était rempli de dégoût. Il finit d'un trait le verre d'alcool qu'il avait dans la main puis alla en cuisine pour le déposer sur le comptoir. Elle s'approcha de lui, mit une main sur son bras et alla déposé un baisé sur ces lèvres. Un cours instant il ferma les yeux puis tourna le visage afin de se dégagé. Elle fronça le regard, ne comprenant visiblement plus rien. « Qu'est-ce-qu'il ya Aiten? » Il s'éloigna d'elle, en fronçant lui-même le regard. Puis d'un air plus sûr de lui, il se mit à raconté sa soirée. « J'ai réalisé que j'avais été un imbécile avec toi. Je voulais me racheter et quand j'ai vu ton texto, j'ai vu une opportunité. Alors je suis allé dans ce bar où tu vas toujours. Tous tes amis y étaient. Mais pas toi. Ils ont dit que depuis quelques semaines tu n'y allais même plus, tu préférais resté chez toi. Aiten prit un pause pour soupiré. Sauf que, tu n'étais pas ici, avec moi, à l'appartement, chez toi. J'ai même appelé tes parents tu vois. Il lâcha un faux rire après cette réplique. Sur ton relevé bancaire, il est marqué que tu as été visité un hôtel. J'ai comparé avec les messages que tu m'as envoyé. » Elle comprit alors ce qu'il était en train d'insinuer. Il arrêta de parlé, il savait qu'elle venait de comprendre ce qui se passait. « Aiten.. » Il mit un main devant lui pour qu'elle cesse de parler. Il ne pouvait pas l'entendre sortit de sa bouche. Ce serait trop douloureux. « Tu m'as trompé. » Elle se mordit la lèvre, c'est tout ce qu'elle pu faire. Puis prenant une once de courage elle le regarda dans les yeux et soupira avant de parler.  « Oui, Aiten, je t'ai trompé. » Il fronça le regard et balança un vase contre le mur puis s'écroula sur un tabouret de la cuisine, les yeux baigné de larme et de haine. « Tout ce temps.. Tu m'as menti je-» Il releva le regard vers, qui voulait pleuré, mais qui visiblement se retenait. « C'est terminé Aiten. » Troublé, il ne comprit pas tout de suite. Sa tête bourdonnait, sûrement à cause de tout cet alcool qu'il avait bu pour noyer sa peine et son dégoût envers celle qui devait être sa petite amie. Elle de son côté fermait les yeux pour ne pas voir sa réaction. « Pardon? » Finit-il par dire. Le regard de Charlotte changea, elle ouvrit les yeux, sur le point de craquer et de se mettre à pleurer. « Me force pas à répété, je t'en pris. » Des larmes coulèrent sur ces joues ce qui mit Aiten en furie. Comment pouvait-elle pleuré alors qu'elle avait été la fautive qui l'avait trompé depuis plus d'un mois. Bien sûr, il n'y avait pas d'amour entre eux. Mais après tout ce qu'il avait vécu, après avoir perdu sa mère, aimé et le démontré devenait difficile. « Alors pourquoi tu pleures dis moi. Si tu es celle qui me laisse tombé, qui remet en question mon amour, celle qui m'a trompé. C'est moi qui devrais être en train de te laissé. » Il avait raison, autant elle que lui le savait. Il devrait être en train de lui faire la morale, de lui dire à quel point elle le dégoûte mais rien de tout ça ne se passait. C'était en fait surprenant. Elle le quittait, elle. « Parce que tu ne serais pas capable Aiten. Depuis la mort de ta mère- » Si ces premiers mots lui donnèrent une gifle en plein visage, les derniers furent comme un coup de poignard en pleins coeur. Il l'arrêta, ne pouvant supporter qu'elle dise ces mots, qu'elle ne fasse que pensé à sa mère le mettait dans une colère noire. « Je t'interdis de mettre le blâme sur ma mère! Je ne veux même pas que tu prononce son nom! » Aiten la regarda en fronçant les sourcils, il déglutit avant de baissé le regard et de prendre sa tête entre ces mains, se laissant tombé contre le mur du comptoir. Pendant qu'il pensait à sa mère, elle eu le temps d'allé chercher ces choses, de tout empaqueter. Il n'était plus lui-même, hors de ces gongs. « Je, je vais partir, d'accord? Aurevoir Aiten » Elle déposa un bref baisé sur sa tête avant de prendre sa valise et de quitté le petit appartement dans lequel ils avaient vécu en tant que couple pendant cette dernière année. Ils étaient des amoureux, des meilleurs amis et tout s'était terminé en l'espace d'une minute. Une vulgaire minute qui venait se foutre de la gueule de leur relation. Cette seule minute rendait leur relation stupide, sans importance, à néant. C'était comme si tout ce qu'ils avaient vécu venait d'être effacé. Les photos étaient vide, les vidéos, les souvenirs, tous devenaient sans amour, sans elle et sans lui. S'ils étaient aussi fougueux que Roméo et Juliette, ils étaient dorénavant aussi sombre et terne que deux anges avec les ailes arrachés et déchus au sol. Les carreaux de la salle de bain étaient froids, glacées même. Il s'en fichait. La froideur lui faisait du bien, lui procurait cette sensation qui lui rappelait que bientôt son corps serait aussi froid, enfin peut-être. Pourquoi, depuis que sa mère était morte tout se précipitaient pour lui gâcher la vie, pour éteindre cette lumière vive qui régnait au fin fond de son corps, dans son corps. Si un jour il fût comblé de joie, de désir, de rêves, aujourd'hui tout ça n'était qu'éphémère. Tout ce qu'il avait un jour aimé venait de disparaître. Chaque personne autour de lui l'abandonnait, le laissait seul avec lui-même dans cette noirceur qui le terrifiait. Il était là, couché, sans expression, son corps presque inerte. Des larmes coulaient sur ces joues, lui picotaient les yeux. Il ne daigna pas les retirés, ça ne servait à rien. Il s'endormit contre les carreaux, dans la salle de bain.