(m/libre) SHILOH FERNANDEZ

- nom complet : tomas grimm - âge : écrire ici. - origines et nationalité: Il est né en Angleterre et a des origines françaises. - occupation et situation financière : Il est avocat/magouilleur et réussit toujours a s'en sortir sans appeler papa maman pour lui payer son loyer. Il préfère profiter de l'indulgence des autres et jouer de son charme. - statut civil : Célibataire. - orientation sexuelle : Hétérosexuel. - traits de caractère : Malin - ingénu - débrouillard - égoïste - indépendant - charmeur - indélicat - impatient - solitaire - casse cou - fidèle - cynique. - quartier de résidence : Libre a vous.  - groupe : King of the jungle. - avatars : Shiloh Fernandez   Ed Westwick, Jensen Ackles, Stephen Amel...

( red, white, blue is in the sky, summer's in the air )
Tomas a grandit en Angleterre ou il a eu une jeunesse difficile. Son père ou tout du moins celui qu’il pensait être son père passait son temps a détruire psychologiquement sa mère. Jamais de traces physiques mais des insultes, des reproches constants. Très proche de sa mère Tomas a toujours blâmé son père d’être responsable du mal être de celle qui donnait tout pour lui. Malheureusement sa mère tombât dans la drogue et malgré son amour pour son fils et les promesses qu’elle lui fit elle ne put se résoudre a entrer en cure et finit par décéder d’une overdose alors qu’il avait 15 ans. Son père le délaissant sombrant a ses vieux démons, a savoir l’alcool c’est a l’âge de 16 ans que le garçon prit la décision de partir et de vivre de petits boulots. Pas toujours facile de manger a sa faim. Pour ça il tombât dans les pires bassesses. Voler dans un premier temps, puis vendre de la drogue, un comble… Mais c’est Violette qui changeât tout. Elle était beaucoup plus âgé, mature, et se servait de lui comme objet de démonstration. Elle l’emmenait a toutes ses soirées mondaine et le payait pour prétendre être en admiration devant celle qui profondément ne représentait que du dégout. Un soir il décidât de tout envoyer valser, se dégoutant d’en être arrivé la. A ce moment la son père reprit contact avec lui, avouant enfin ce qui le rongeait. Sa mère avait couché avec un autre homme et Tomas était le fruit de cette union. Les rapports entre les deux hommes sont encore aujourd’hui tendus, difficiles mais c’est son père qui lui a payé des cours de droit lui permettant de se sortir de la rue, et retrouver une dignité trop longtemps perdue.

( come on baby, now tell me i'm your national anthem )
« Belle plaidoirie » la voix de Tomas la sortit de sa rêverie. Elle le toisât de toute sa hauteur et répliquât avec vanité. « Evidemment j’ai gagné ! » Quel toupet, il venait lamentablement de plaider la cause de son client mais les arguments d’Olivia étaient imparables. Elle avait étudié ce dossier des heures durant lorsqu’elle avait su que l’avocat de la partie d’en face n’était autre que Tomas Grimm. Elle ne le connaissait que de réputation mais cela lui avait donné une certaine niaque. En effet il se murmurait dans les couloirs du palais que le jeune homme jouait de ses charmes auprès des juges féminines afin de mieux gagner ses procès. Vérité ou affabulation, Olivia n’en avait que fichtre elle voulait juste rabattre le caquet de ce jeune coq. « Parce que je l’ai bien voulu. » Entendit-elle dans son dos alors qu’elle s’éloignait. Elle se retournât le regard foudroyant. Admettre sa défait avec finesse était visiblement trop en demander au freluquet.  « Ou peut être parce que le juge était un homme. » Claquât ‘elle sévèrement. Elle semblait avoir touché un point sensible puisqu’il ne répondit pas. Elle le vit cependant la suivre a petite foulées pour arriver a sa hauteur. « Touché. » Son petit air narquois accompagné de ce sarcasme ne faisait qu’augmenter la colère d’Olivia envers lui. Elle détestait qu’on réponde a ses jouxtes verbales, et elle avait trouvé un adversaire a sa taille. « Je vous offre un café pour célébrer, il est peut être un peu tôt pour du champagne. » Son sourire en coin n’avait pas l’effet escompté sur la blonde. « Vous voulez célébrer le fait d’envoyer votre client en prison ? » Il haussât les épaules avec un air de je m’en foutisme qu’il abordait souvent. Elle haussât les yeux au ciel comme une mère face aux inepties de son enfant. « Sans moi je n’ai pas le temps. » Il eut un air dépité mais elle n’arrivait pas a déceler si il s’agissait encore de manigances de sa part ou si il était vraiment déçu. « Une prochaine fois sans doute. » Glissât’il avec pugnacité tandis qu’il s’éclipsait au détour d’un couloir. Elle eut à peine le temps de grincer un « C’est ça. » entre ses dents qu’il avait disparu…

Leur chemins s’étaient souvent croisés par la suite. Il semblait ne pas se lasser de la pousser  dans ses retranchements. Sa nouvelle lubie consistait a l’appeler madame Chamberlain, son nom de jeune fille qui selon lui, lui allait beaucoup mieux. Bien sur le fait que Gregory, le mari d’Olivia,  se lance dans la politique lui donnait un sujet pour la piquer. Il était clair qu’il ne portait pas le candidat dans son cœur. Jalousie ? Divergences d’opinions ? Il était tard ce soir là lorsqu’Olivia se décidât enfin a quitter le palais. Alors qu’elle se rendait a sa voiture elle se rendit compte qu’elle avait oublié sa mallette sur son bureau. Sous une pluie torrentielle elle regagnât l’office. Alors qu’elle s’apprêtait a repartir elle le vit sur le perron, aussi mouillé qu’elle. « Qu’est ce que vous faites la Tomas ? » Son ton se voulait dur mais une partie d’elle était contente de le voir. Alors que Gregory semblait la délaisser, même la fuir, l’intérêt de Tomas envers elle ne faisait que grandir et celui-ci ne se cachait plus de vouloir un rendez vous avec pour apprendre a la connaître. « J’ai vu que vous n’alliez pas très bien, je voulais m’assurer que ça allait. » Il semblait sincère et pour la première fois il lui apparut sous un nouveau visage… touchant. L’inquiétude qui peignait ses traits n’était pas feinte. « Ca va un peu de fatigue, de surmenage… » Répondit elle avec lassitude. Fatigué oui, mais de lutter a essayer de comprendre comment réparer son mariage et surtout ce qui semblait l’avoir brisé. Alors qu’elle arrivait a son niveau il s’emparât avec douceur mais fermeté de son poignet, la forçant a plonger son regard dans le sien. « Pas la peine de prétendre avec moi. » Murmurât’il comme si ils n’étaient pas seuls dans la pièce. Elle se noyait dans les prunelles d’eau verte du jeune homme et ne protestât pas lorsque sa main dérivât jusqu'à sa hanche, brisant l’espace entre eux. Ses lèvres vinrent se mouvoir contre celle du jeune homme avec avidité. Elle ne contrôlait plus rien et dieu que c’était bon. Mais la réalité refit vite surface, alors qu’elle quittait a regret ce  baiser, réalisant alors ce qu’elle venait de faire. Le sourire du jeune homme ne fit que lui briser un peu plus le cœur car elle savait qu’il serait de courte durée. Elle se reculât prestement, sa main apposée sur sa bouche. « Je… Je suis désolé… Je ne sais plus ce que je fais. » Balbutiât’elle tout en prenant la poudre d’escampette a grande enjambée. Elle  entendit le jeune homme crier son nom mais ne se retournât pas avant d’avoir décollé du parking.