+ get free

- nom complet : azalea bradley lane. - âge, date et lieu de naissance : vingt années de conneries, depuis le neuf janvier quatre-vingt quinze à miami, s'il vous plait. - origines et nationalité: américaine avec des origines irlandaises/écossaises, tout ce qu'il y a de plus cinglé mon gars. - occupation et situation financière : actuellement étudiante par correspondance. sinon, elle est pleine aux as, merci papa et maman ! - statut civil : c'est le bordel, de ce côté.  - orientation sexuelle : elle a une préférence pour les troisièmes jambes m'voyez. - traits de caractère : enjouée. franche. provocatrice. hyperactive. souriante. pleine de vie. rancunière. part vite au clash quitte à faire mal. peut être froide et distante si elle veut. un peu réservée aux premiers abords. calme, oui ça arrive. peut être manipulatrice, uniquement en cas de besoin. maline. garce à ses heures. grande fêtarde. joue les insensibles alors qu'au fond, elle est facile à atteindre.  - quartier de résidence : elle vit encore chez papa et maman, avec son frère, à Ocean Drive dans une des nombreuses et prestigieuses villas.  - groupe : king of the jungle.

( my silver spoon has fed me good )
azalea a un frère, seule personne à laquelle elle est vraiment attachée, elle donnerait tout pour lui et le protège énormément, sûrement plus que n'importe qui. + elle n'exprime que très rarement ses sentiments, émotions, elle ne se dévoile à personne, purement et simplement parce qu'elle a compris les règles : ne faire confiance à personne. c'est la loi de la jungle, comme on dit. chacun pour sa peau, ce sera à celui qui réussit à se hisser le plus vers le haut, quitte à faire mal aux autres. + elle a toujours été habituée à avoir tout ce qu'elle voulait, en un claquement de doigt. et généralement, elle obtient toujours ce qu'elle veut. petite garce prétentieuse et alors ? + elle est du genre à passer une heure voir deux dans la salle de bain, pour se préparer et s'assurer qu'elle n'a négligé aucun détail, elle prête énormément d'attention à son apparence, elle aime prendre soin d'elle. + elle ne voit pas beaucoup ses parents, son père étant un homme d'affaires dirigeant sa propre entreprise ayant une renommée internationale et aux voyages donc multiples, sa mère le suit également en voyages d'affaires. azalea a donc été élevée par une gouvernante, gwladys, qui a pris une place importante pour elle, même si elle ne le dit pas. trop de fierté, sans doute. + elle est rarement tombée amoureuse, pour de vrai, et la plupart de ses relations amoureuses n'ont pas duré bien longtemps, autrement dit, elle n'a jamais connu l'amour, le vrai, celui qui fait accélérer chaque battement de coeur, celui qui donne des papillons dans le ventre, qui fait sourire comme une idiote à chaque mot prononcé aussi banal soit-il. il se pourrait que quelque chose du genre se trame, mais comment voulez-vous qu'elle le sache, elle ne sait pas ce que c'est que d'être vraiment amoureuse. + il lui arrive de fumer, en cachette. après un coup de colère, ou juste comme ça. mais elle n'est pas non plus du genre à fumer un paquet par jour, bien loin de là. + elle est une fêtarde invétérée, elle aime faire la fête et ne l'a jamais caché, le fait que ses parents ne soient pas souvent présents se trouve d'ailleurs être un atout lorsque la rouquine tient à s'amuser un peu. + elle est un peu une langue de vipère, provocatrice à souhait, elle a ses têtes, ceux qu'elle aime embêter, qu'elle aime pousser à bout pour ensuite mielleusement s'excuser, avec un regard faussement désolé tellement adorable que peu de gens y résistent. comment ça j'exagère ? comment ça c'est pas vrai ? roh.  

( we kings of cosmopolitan love and nihilistic suffering )

née à miami, en floride, le neuf janvier mille-neuf cent quatre-vingt quinze, avec quelques jours d'avance, lors d'un des nombreux voyages d'affaires de son père, pour lequel sa mère, bien qu'enceinte jusqu'aux dents, l'a tout de même suivi, comme la pire des cruches. résultat ? en tant que chieuse de première, même avant de voir le jour, azalea se pointe et pousse son premier cri une dizaine de jours avant-terme. quelle n'est pas la surprise de son frère aîné lorsque ses parents rentrent, un bébé dans les bras, bébé supposé arriver à leur retour et pas avant. exceptionnellement - ouais, ça lui arrive des fois -, leur père met son travail entre parenthèses le temps de quelques jours, du moins. dès lors qu'elle souffle sa première bougie, sa mère recommence à suivre son père, la laissant elle ainsi que son grand frère, milo, à la charge d'une gouvernante qui l'élèvera durant toute son enfance et adolescence. gwladys deviendra par la suite comme une seconde maman pour la blonde. celle qui a essuyé ses pleurs, ses colères, ses larmes de joie, ses déceptions. celle qui lui a enseigné des valeurs que sa véritable mère, tout le temps absente, n'a pas su faire. c'est une gamine respectueuse, pleine de vie, souriante, joyeuse que se révèle être azalea avant l'entrée au collège. les clans, l'«élite», les marginaux, tout le topo, elle comprend très vite qu'elle a intérêt de la jouer garce de première pour se faire une place. c'est encore pire lorsqu'elle arrive au lycée. la douce demoiselle se forge une carapace, elle change. plus froide. fière. elle sait comment ça fonctionne, comment se hisser vers le haut et obtenir tout ce qu'elle veut, tirer son épingle du jeu. après le lycée, azalea continue ses études par correspondance. de toute façon, ses parents se font toujours aussi peu présents, excepté sur son compte bancaire, et gwladys étant partie - à vingt ans, soyons d'accord, elle n'a plus besoin de gouvernante -, à part son frère, elle est seule et libre de faire ses propres choix, ses propres erreurs. elle sort souvent, elle profite de sa jeunesse. vient ensuite sa rencontre avec elijah. provocatrice dans l'âme et cernant rapidement la personnalité colérique, ombrageuse, du jeune homme, elle joue de cela. elle le titille jusqu'à ce qu'il s'énerve, le pousse à bout. c'est comme un jeu pour elle, un jeu dans lequel il rentre à chaque fois. il est tellement facile à manipuler, ce beau solitaire. et c'est tellement drôle ! il y a toutefois quelques ambiguités malgré tout. pour certains, c'est pas grand chose, pour elle, avec une fierté sans doute plus grande que la grande-bretagne entière, c'est énorme. le fait de ne plus réussir à soutenir un regard, sans détourner les yeux, se sentir gênée avec cette émotion étrange qui l'envahit, qu'elle saurait absolument pas nommer mais qui l'agace. elle n'aime pas ne pas avoir le contrôle d'elle-même, alors elle prend des distances, ne serait-ce que le temps que ce sentiment bizarre qui prend le dessus à chaque fois disparaisse. c'est ce qu'elle espère du moins. de l'amour ? elle ne sait pas ce que c'est, elle n'a jamais connu quelque chose comme ça. mais si c'est avoir le coeur qui s'accélère, le ventre qui papillonne, les yeux qui brillent, alors oui, elle est amoureuse. elle est amoureuse de la mauvaise personne, de quelqu'un qui n'a rien à voir avec le monde dans lequel elle vit. au contraire, il n'a rien à voir avec l'élite, il est tout l'inverse. il est en bas de l'échelle alors qu'elle essaie de se maintenir en haut de cette dernière. en fait, en y regardant bien, tout les oppose et c'est ce qui lui fait le plus peur.