| | (owen) kiss kiss bang bang | |
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Invité Invité
| Sujet: (owen) kiss kiss bang bang Dim 15 Mar - 0:08 | |
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OWEN CARRILLO
chaque offense a sa valeur. on ne doit jamais exagérer. si on commence à exagérer, on meurt vite. ft. mariano di vaio | © cit et img
- nom complet : owen, pour faire perdurer la tradition de la transmission entre générations. Carrillo, ça sonne bien au fond d'la gorge. Ça fait changer de trottoir, pour s'éloigner ou pour se rapprocher, selon les ambitions de chacun. Un nom qui pèse lourd sur tes épaules. - âge, date et lieu de naissance : t'es né le 9 mai 89 au pays, sur les terres d'origine de ta famille, juste avant le départ de tes parents pour l'eldorado. T'as vingt-six ans à peine, et déjà bien fatigué. - origines et nationalité : les rumeurs vont bon train à ton sujet, il se murmure dans les couloirs que ton père n'est pas le très craint et respecté Don Carrillo mais l'un de ses associés américains disparu quelques mois après l'annonce d'une deuxième grossesse, probablement jeté dans une fosse commune au milieu des terres arides du Mexique. Il te suffirait d'un cheveu pour dissiper le malentendu, mais pour toi ça n'a aucune importance. Tu sais au fond de tes tripes que t'es différent, t'as pas besoin d'un foutu test pour le confirmer. T'es américain, quel que soit l'identité de ton géniteur, imprégné de la culture mexicaine. - occupation, situation financière : comme l'ensemble de ta famille, tes comptes en banque sont copieusement remplis. Et pas que. T'as du fric planqué partout, même dans la chambre noire de ton atelier de photographie. Une occupation de branleur, que t'as dû négocier en prenant part aux activités illégales de la famille. T'es celui qui s'assure de la bonne réception des marchandises douteuses à l'entrepôt, puis t'es surtout le premier échelon des plaintes diverses. Une pute qui s'fait frapper, un clandestin qui crève dans le container, une transaction d'armes qui tourne mal, un dealer qui s'fait boucler. C'est à toi qu'on fait remonter l'information d'abord pour ne pas emmerder ta soeur et ton père avec les petits problèmes qui peuvent se régler rapidement. T'es le filtre des emmerdes qui vous tombent sur le coin de la gueule. - statut civil : en couple fragile, dans une relation bourrée de secrets inavoués et de mensonges. - orientation sexuelle : t'es gay. Tu l'sais depuis que t'as douze ans, depuis que t'as fixé ce mec en sueur arroser vos bégonias en te mordant la lèvre. C'est quelque chose que tu n'as jamais partagé avec ta famille, parce que tu sais que ça ne ravirait pas tout le monde. Même si ça ne surprendrait probablement pas, étant donné que t'as toujours été différent -pour te rendre intéressant, diraient certains-. Le type qui prône le dialogue et la paix avant de cogner, le type qui se passionne pour la photographie. C'est presque logique que tu sois pédé. T'imagines qu'ils savent malgré ton silence, que tout le monde sait. Mais que ta famille le tolère parce que tu n'en parles jamais, et que les employés ferment leur clapet parce que t'imposes le respect. - traits de caractère : terre à terre, intelligent, pacifiste, médiateur, calme, compréhensif, juste, sociable, raisonnable, patient, généreux, sérieux, passionné, superstitieux, attaché à la famille, empathique, secret, réfléchi, direct -un peu trop-, rigide, simple, poisseux, méfiant. - quartier de résidence : center drive. - groupe : wild rabbit. my silver spoon has fed me good tu sais comment buter un mec avec deux doigts et appuyer sur la détente sans trembler, mais tu n'supportes pas le recours à la violence injuste et aveugle. Voir un mec chialer, supplier pour sa vie, pisser dans son froc, ne t'apporte aucune satisfaction. Ça te donne plutôt envie de gerber, même si tu restes stoïque. Tu suggères toujours le dialogue, des méthodes alternatives, plutôt que briser les deux jambes d'un acheteur endetté ou kidnapper le fils d'une prostituée en fuite. Quand ton père ordonne tu t'exécutes, toujours, mais tu proposes une autre solution en espérant être écouté. Un bras pété plutôt qu'une balle entre les deux yeux. Un compromis financier plutôt qu'un colonne vertébrale brisée. Parfois ça fonctionne, d'autres fois non. T'as de plus en plus de mal à savoir ce qu'il se passe sans te sentir révolté, fatigué. Dans ta vie personnelle tu fuis les conflits, tu restes calme, tu hausses les épaules. On peut t'insulter, te cracher dessus sans te faire réagir. Ton seul talon d'achille reste les membres de ta famille, surtout tes soeurs. Pour elles, tu tuerais sans regrets. • t'es passionné de photographie, celle de la rue. Les exilés, rebuts de la société, abandonnés, sont ta principale source d'inspiration. En faire des portraits, capter leurs émotions. Ce sont eux qui te fascinent, qui te stimulent. Ils sont vrais, pas surfaits. Tu pratiques aussi l'urbex, saisis l'essence des lieux délaissés, boudés. T'as fait quelques expositions qui ont plutôt bien marché, mais t'aimes pas forcément la clientèle qui parcourt la galerie. T'as pas l'impression qu'ils se sentent vraiment concernés, qu'ils voient ce que t'as voulu montrer. Pour faire plaisir tu photographies les événements multiples de la ville, les mariages, les galas. • tu fais du sport, beaucoup. Un peu trop sans doute. Tu cours, tu nages, tu te défoules sur ton sac de frappe, tu joues au tennis et tu reprends le surf. T'en as besoin pour te libérer, pour te sentir bien. • t'es très superstitieux. Tu crains la magie, tout ces trucs que tu peux pas expliquer ça te fait froid dans l'dos. Jamais tu n'passeras sous une échelle un vendredi 13, et tu fais tout pour contenter le karma. Si tu fais une saloperie, il t'arrivera une saloperie. T'es persuadé que c'est comme ça que la vie fonctionne, alors t'essaies de te montrer le plus juste possible. Enfin avec la famille que t'as, tu crèveras probablement poignardé dans l'dos par un mec à qui tu feras aveuglément confiance. • "aveuglément" c'est même pas une façon de parler, parce que le karma commence déjà à se manifester, à te pousser à te tailler. Les médecins t'ont annoncé que t'avais une dégénérescence maculaire précoce. Le truc qui touche normalement les vieux, t'as attaqué sans le moindre scrupule. Pour l'instant t'es stabilisé, mais à terme tu seras plongé dans le noir. Pratique pour la photographie. T'as carrément acheté des bouquins pour apprendre le braille, même si c'est totalement précipité. Evidemment, c'est une information que t'as l'intention de garder secrète jusqu'à ce que tu n'puisses plus la dissimuler. • tu songes de plus en plus sérieusement à couper les ponts avec ta famille, à te tirer d'ici et recommencer une vie ailleurs. Une vie simple. Le problème c'est que tu les aimes ces cons, que t'as pas envie de les quitter. Pourtant t'es conscient que t'en as besoin, que si tu restes là-dedans tu vas finir par te haïr, par les haïr. Par te faire sauter le caisson. • tu ne flambes pas malgré le paquet de fric que tu possèdes. Tu n'te trimbales pas dans une caisse hors de prix, tu n'jettes pas des billets par la fenêtre pour en mettre plein la vue. Ta seule folie est un catamaran de 21 mètres sur lequel t'adores t'exiler. Tu t'sens jamais mieux qu'en pleine mer. • tu bois souvent après une journée de boulot, plus qu'avant. Tu t'files des maux de crâne, tu t'retournes le bide. Tu racontes des tas de trucs incompréhensibles, des histoires à dormir debout. Tu t'plantes sur les rails d'un train, tu flirtes avec le danger. Tu provoques des bastons sans y prendre part, juste pour le plaisir. Et tu souris, oiseau de malheur. Tu deviens ingérable, tu chies sur tes responsabilités. Papa t'a déjà mis une raclée, mais t'en as rien à cirer. Tu regrettes après, mais ça t'empêche pas de recommencer. • le seul truc que tu sais cuisiner, ce sont les spécialités de ton pays. Cliché, mais t'as une réputation à assurer. Pour le reste, c'est pizza, sushis et hamburgers à emporter. • t'as récupéré le clébard d'un mec mort, un chien de canaan que t'as appelé Lego parce qu'il a mâchouillé le jouet du fils de la voisine en montant les escaliers. • t'aimes être bien sapé, faire bonne impression. T'es bien élevé et tu sais converser avec les hautes pointures, pourvu que tu restes loin du bar. T'as rien à envier à tes soeurs, tu fais honneur à ta famille sans avoir besoin d'aucun jeu de séduction. On t'apprécie naturellement, parce que t'as l'air honnête et franc. Même si on s'méfie de ta famille, t'es généralement un interlocuteur estimé. we kings of cosmopolitan love and nihilistic suffering « Qu’est-ce que je t’avais dit Jon ? » T’interroges sans quitter le corps inerte de ton regard glacial, les bras croisés sur ton torse. « Pète lui une rotule, menace sa famille et réexpédie-moi ce déchet dans un autre Etat. » Tu relèves les yeux sur l’un des employés de la famille qui répète tes mots, très exactement. Un exécuteur chargé de la sale besogne. Censé régler les problèmes, pas en créer. « Pas les deux, pour qu’il puisse se tirer vite fait. » Ça t’file mal au crâne. Ou c’est peut-être le whisky d’hier soir dont t’as abusé, encore. T’en sais rien, mais t’as envie de mettre un terme à cette sale histoire au plus vite. Etre confronté à toute cette violence, ça t’épuise. « Bien. Alors tu peux m’expliquer pourquoi ce type a le crâne défoncé à coup de batte de baseball ? » T’arques un sourcil en désignant le cadavre du menton, question rhétorique puisque tu sais déjà ce qu’il s’est passé. Jon a pris ses aises. Jon a cru qu’il pourrait zigouiller un mec parce que le type a buté une pute des Carrillo. Jon a pris ses propres décisions et c’est là que tout fout l’camp. « J’aurais peut-être dû te faire un dessin d’une rotule, parfois j’oublie que t’es qu’un putain de débile qui est pas resté à l’école très longtemps. » Ouais après tout, c’est de ta faute. T’aurais dû lui filer un dico, avec une putain de définition. « Mais c’mec il a saigné la petite Nel … » « Ta gueule Jon. » Tu l’interromps, et tu l’vois se ratatiner. Les épaules affaissées, la sueur perlant au coin des tempes. « T’as pas de marge d’appréciation, tu comprends ? J’ordonne, t’exécutes. C’est pourtant pas très compliqué pour le salaire que tu t’fais. » Tu sors une paire de gants en latex que t’enfiles calmement. Dans son regard, tu perçois clairement la panique, la peur, l’effroi. Il s’imagine qu’il va clamser, que tu vas sortir ton flingue et le buter. Juste comme ça. T’aurais pu c’est vrai, d’ailleurs tu fais rien pour le rassurer. Parce que quand il se rendra compte qu’il est vivant, tu seras son nouveau Dieu. Toi, tout ce que t’espère c’est qu’il va pas s’mettre à genou pour te baiser les pieds. Ça t’est déjà arrivé et bordel, c’est très gênant. Mais c’est encore moins intolérable que s’il se mettait à chialer comme une fillette qui vient de recevoir une gifle à la récré. Tu détestes voir ça : l’humiliation, la frayeur, le désespoir. Tu sais qu'à sa place, t'aurais été tenté de dégommer ce mec, cette ordure qui a frappé une pauvre gamine jusqu'à ce qu'elle crève. Mais tu peux pas laisser passer l'insubordination répétée. T’aimerais juste vivre une existence où t’es pas obligé d’instaurer ce climat de crainte, où t’as aucune réputation à maintenir, aucune image à fixer dans les esprits. Où tu peux être juste toi, sans propager souffrance et terreur. « C’est pas la première connerie Jon, tu viens d’épuiser notre patience. » T’attrapes la batte de baseball qui gît sur le sol et tu t’approches de l’employé indiscipliné. Les deux hommes qui attendaient sans moufter s'emparent chacun d'un bras pour l'immobiliser. « Oh Owen tu sais qu'j'ai des gosses, déc ... » C’est rapide, c’est immédiat, tu n’fais pas traîner ça en longueur. Un coup bref dans son genou tendu, un ‘crac’ d’os fracturé suivi d’un hurlement de douleur. « Ça, c’est une rotule. » T’expliques sans te départir de ton flegme habituel, servant ton petit cours d’anatomie sans sourciller. « Tu vas aller pleurnicher à l’hosto pour qu’ils te réparent, parce que tu t’es fait tabasser dans la rue. Les clodos d’nos jours, incontrôlables. » Tu lui donnes ta version des faits, celle qui devra devenir sa version des faits. T’approches ton visage tout près du sien, déformé par le tourment. « Puis tu feras ta petite valise pour te tirer de la Californie en embarquant ta famille avec toi, s’ils veulent bien rester avec un moins que rien. Sinon, un jour où tu n't’y attendras pas, ton gosse rentrera pas de l’école. Et ta femme disparaîtra. Puis ce sera ton tour. » Tu lui tapotes alors la joue en signe de bienveillance. « Ça tu vois, c’est une menace. » Tu lâches l’arme de fortune sur le bitume, puis tu murmures des instructions à tes hommes. Trouver un camé. Nettoyer la batte. Lui coller entre les mains. Déplacer le portefeuille du mort dans sa poche. Appeler les flics. Déposer Jon à l’hôpital. Rien qu’ils n’aient jamais fait. Une banale mise en scène qui te fait horreur, mais que t’es bien obligé d’orchestrer. Trop de morts en si peu de temps, faut que celui-ci n'amène aucune question, que le scénario soit simple. C’est ça, ou un autre cadavre ajouté à la longue liste de ta famille et de nouveaux soupçons. Tu viens de sauver la peau à ce putain d’inconscient, mais ça t'fait pas te sentir mieux. [...] Quand t'as tourné au coin de la rue, que t'es seul, tu t'appuies fébrilement contre le mur d'une maison. Comme si t'allais gerber. Tu fermes les yeux et tes doigts tremblants se glissent sur ton front douloureux. Tu craches sur le trottoir, et tu laisses tomber ta tête contre la pierre froide. T'es vraiment pas fait pour ces conneries. Faut que tu t'casses, faut que t'arrêtes, faut que tu choisisses une autre vie avant qu'il ne soit trop tard. C'est urgent putain, c'est vraiment urgent.
Tu n’sais pas bien quelle curiosité malsaine t’avait poussé à l’épier, à lui parler, à le désirer. Wesley. Comme si apprendre à le connaître pouvait te racheter, soigner ta conscience blessée. T’avais juste voulu savoir comment il allait, t’avais juste voulu l’aider. Lui filer une enveloppe remplie de blé toutes les semaines, ça te suffisait plus. Parce que tu l’avais vu s’en débarrasser, la refuser. Comme s’il savait qu’elle provenait d’une main salie par le sang de sa sœur. La jeune Nelly, un ange blond au visage enfantin frappée à mort par un client. L’une de vos prostitués, que vous étiez censée protéger. Forcée à faire le tapin parce qu’elle avait emprunté trop d’argent à la mauvaise personne, fauchée trop tôt par la main d’un enculé que Jon avait buté. Ça t’avait fait mal, plus que les autres. Parce qu’elle était plus jeune, plus jolie, plus innocente. Parce que sa mort était plus cruelle, plus injuste, plus affligeante. Elle était intervenue à un moment particulier de ta vie, et tu l’avais perçue comme la concrétisation de tes doutes. La preuve de la nécessité de sortir de ces sales affaires, de ce business pourri. Tout ça, t’en voulais plus. T’en avais fait une affaire personnelle, tu t’étais mêlé à la foule de son enterrement et tu l’avais vu. Wesley. Son frangin éploré. Tu l’avais observé, longtemps, avant de l’aborder. Feignant une rencontre fortuite, juste pour discuter. T’avais pas vraiment eu l’intention de le revoir, mais c’était lui, qui t’avait couru après. Fragile, maladroit, désespéré. T’avais rien pu lui refuser. Dans son monde les Carrillo ne sont qu’une famille riche à millions comme les autres. Ni des criminels, ni des gens mal intentionnés. Et encore moins les responsables de la mort de sa sœur. Tu l’as revu, plusieurs fois, tu l’as laissé entrer dans ta vie en désactivant toutes les alarmes d’auto-préservation de ton cerveau. Rongé par la culpabilité. Grossière erreur. Si tu savais que les mensonges il en a, lui aussi. Wesley. De plus gros que toi, de plus vicieux. Que les Carrillo, sa sœur lui en avait parlés. Qu’ils sont pour lui, la source de tous ses malheurs. Wesley, il veut te faire tomber, et entraîner l’ensemble de ta famille dans ta chute. Ramasser des informations, fouiller, pour baver auprès des flics. Il a déjà commencé à discuter avec eux, à rassembler tout ce qu’il doit savoir à leur sujet. Wesley compte bien t’embobiner, pour mieux te poignarder. Derrière chacun de ses baisers se cache un désir de vengeance, là où chez toi la culpabilité se niche. Il veut te faire mal, au moins autant que tu lui as fait mal. Te faire éprouver l'impuissance, l'incompréhension et les regrets.
- gnaw upon my roots:
gnaw upon my roots : meat, gristle and bone- pseudo/prénom : ohiana. - âge : le même qu'owenchou - fuseau horaire : douuceee france. - commentaires/suggestions : ça m'a l'air bien sympathique par ici, puis après avoir lorgné 4 recherches de liens/scénarios déjà inscrits (vdm), je jette mon dévolu sur mister carrillo trop de sex appeal dans la famille - autres : bon j'aime pas poster ma fiche sans rien écrire mais on me propose de regarder un petit film d'horreur alors vous comprenez ... - smiley préféré : (cliché )
Dernière édition par Owen Carrillo le Lun 16 Mar - 12:43, édité 40 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (owen) kiss kiss bang bang Dim 15 Mar - 0:10 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (owen) kiss kiss bang bang Dim 15 Mar - 0:45 | |
| Bienvenue T'es beau |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (owen) kiss kiss bang bang Dim 15 Mar - 0:48 | |
| Bienvenue m.tout.joli |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (owen) kiss kiss bang bang Dim 15 Mar - 1:22 | |
| qu'il est canooon bienvenue |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (owen) kiss kiss bang bang Dim 15 Mar - 7:21 | |
| Bienvenue |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: (owen) kiss kiss bang bang Dim 15 Mar - 9:14 | |
| Hot Bienvenue & bonne chance pour ta fiche |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: (owen) kiss kiss bang bang Dim 15 Mar - 11:13 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (owen) kiss kiss bang bang Dim 15 Mar - 11:44 | |
| Bienvenue |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (owen) kiss kiss bang bang Dim 15 Mar - 12:11 | |
| dick ; merci m'sieur tu m'apprendras à faire du surf, dis, dis sinon sérieusement, j'aime beaucoup le prénom dick (non c'pas ce que vous croyez mais c'est le héros de mon romancier préféré )
esben ; trop bon choix d'avatar merci beaucoup !
holden ; ah ben j'avais pensé à vinnie pour le rôle merci à toi
wes ; pffiouu et taron alors j'le laisserai presque me voler (ouais, sans le "i", à quoi vous pensiez ...) volontairement
lou, neve, casey, greese, alex ; merci à tous pour votre accueil
nicole ; la plus beeelllleee ouais je sais, j'aime me faire désirer que veux-tu j'adore les rimes, on dirait le jury de danse avec les stars merci sister d'enfer, on va dominer le monde |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (owen) kiss kiss bang bang Dim 15 Mar - 12:12 | |
| Je salue le choix d'avatar Bienvenue et réserve moi un lien si tu veux bien |
| | | Leo Whitelaw YOU'RE FULL OF ROT AND POETRY.
Inscription : 12/02/2015 Messages : 1165 Faceclaim + © : irons, mine (av) ~ belikuv (sign). Multinicks : keat, vera. Pseudo : rusty halo, anaïs.
Age : 28 yo. Activité : architect. Statut ♡ : single as fuck, no comment. Derniers achats : pack of cigs, downtown penthouse.
FUCK LOVE, GIVE ME DIAMONDS. Compte en banque: $$$$$ Connections: Disponibilité:
| | | | Henry Coleman ≈ Don't be mad. It doesn't mean I won't sleep with you.
Inscription : 04/03/2015 Messages : 1379 Faceclaim + © : Jamie dornan ~ ©monroes & tumblr Multinicks : CG ◦ MW Pseudo : Mashed Woods ✰ Justine
Age : 28 ans Activité : Propriétaire "The Grand Belmont" Statut ♡ : Célibataire Derniers achats : un yacht, une bouteille de champagne mise aux enchères qu'il a acquit pour la maudite somme de 10 000 $, un costard de chez Paul Smith, une montre.
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| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: (owen) kiss kiss bang bang Dim 15 Mar - 13:26 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (owen) kiss kiss bang bang Dim 15 Mar - 15:01 | |
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| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: (owen) kiss kiss bang bang Dim 15 Mar - 15:45 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (owen) kiss kiss bang bang Dim 15 Mar - 15:53 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (owen) kiss kiss bang bang Dim 15 Mar - 16:25 | |
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