he's satan in a round neck. (r/henry)

Gagner. C'était la seule chose à laquelle pensait Henry depuis deux ans, d'ailleurs, cette pensée l'obsédait nuits et jours. Il était bien décidé à prouver à son cher père qu'il méritait l'entreprise familiale. D'ailleurs il ne pouvait s'empêcher de penser à tous ces bénéfices cachés qu'il avait découvert grâce à Dana. Il se demandait comment son frère pouvait engendrer autant de bénéfices sachant que son hôtel était loin d'être le plus fréquenté de la ville. Si son frère obstruait ses pensées, ce n'était pas le seul. Il savait qu'il devait se méfier des Whitelaw et plus particulièrement de Léo avec qui il entretenait une rivalité sans fin depuis quelques années. Henry est quelqu'un qui ne supporte pas de perdre le contrôle, il savait que son casino ne serait pas à l'abri d'une des manigances des withelaw, c'est pourquoi il avait eu une idée : se mettre la jeune Cat Gallaghers dans la poche. Il l'avait gentiment abordé sur le campus de la fac puis lui avait proposé de le rejoindre dans sa suite au Grand Belmont en lui donnant sa carte. Elle l'avait contacté pour un rendez vous, Henry n'avait pu s'empêcher d'afficher un large sourire après avoir raccrocher son téléphone en pensant que ça allait être sûrement plus simple qu'il ne le pensait d'avoir Cat comme alliée. Le grand jour était arrivé, il avait tout mis en œuvre pour essayer de séduire la jeune étudiante, du champagne et un costume gris qui le rendait encore plus sexy qui ne l'était déjà. Henry savait comment séduire les femmes, pour lui c'était un véritable jeu d'enfant. On lui signala que Emma était arrivée, il se rappela alors du nom d'emprunt dont ils avaient convenu lui et Cat. Si les Withelaw apprenaient d'une quelconque manière que ces deux là se retrouvaient à l'hôtel, Henry ne préférait pas imaginer les conséquences que ça aurait sur lui et Cat. Ré-ajustant son costume, il entendit que Cat était arrivée. Il prit quelques secondes pour se regarder et vérifier qu'il était impeccable. Lorsqu'il ouvrit la porte, il ne pu s'empêcher de contempler la jeune femme de haut en bas, joindre l'utile à l'agréable était un véritable plus pour lui pensa t-il.  "Are you gonna let me in or what? Cause the last thing I need is people thinking we're together." Henry laissa échapper un petit rire. « Tu as tords, être vu avec moi pourrait t'apporter une plus grande notoriété que de faire à moitié partie de la famille des Whitelaw » dit-il un sourire narquois aux lèvres. Il lui fit signe d'entrer et la laissa passer. Il ne pu s'empêcher de poser son regard sur le postérieur de la jeune Gallagher tout en espérant qu'il pourrait le voir d'un peu plus près dans l'heure qui suivrait. Il lui fit signe de se rendre sur la terrasse. Il déplaça la chaise qui se trouvait près de la table pour la laisser s'asseoir.   « Champagne ? » lui demanda t-il en sortant la bouteille de son bac à glaçon pour la laisser contempler l'étiquette. Il leur servit deux verres sans vraiment attendre l'approbation de la jolie brune. « Je serai curieux de savoir ce qui t'as finalement décidé à venir me rejoindre. » demanda t-il en plongeant son regard dans le sien.

Il ouvre la porte, avec grâce et splendeur, d'un geste théâtrale. Cat en a le tournis et une envie pressante de se réfugier au toilette pour régurgiter son petit-déjeuner. Elle évite de le faire, pourtant. Et bien heureusement. « Tu as tords, être vu avec moi pourrait t'apporter une plus grande notoriété que de faire à moitié partie de la famille des Whitelaw » Elle entre du moins dans la chambre avec sûrement la moitié de sa tête ou de son cerveau. Peu importe. Elle n'a tout simplement aucune logique. Ou bien elle est une personne machiavélique qui n'a pas de coeur. La seconde option semble la plus vraie en y pensant bien. Cat marche vers l'intérieur sans tenter de paraître plus sexy qu'elle n'est. Merci à sont training de boxe, elle commence à se sculpter un corps de rêve. Sans même le regarder, elle le sait, il scrute avec attention son derrière. Qu'il prenne un bon regard, tant qu'il le peut, tiens. Et puis son sourire narquois en parlant des Whitelaw. « Dois-je te rappeler qu'il s'agit tout de même de ma famille? Aie un peut de respect. » Elle prit une pause et se retourne pour le regarder. Il a ce regard qui lui donne envie de le frapper en plein visage. Histoire de casser son nez ou sa mâchoire, quelque chose de poétique. « Je suis capable de m'occuper de moi-même, merci. » Elle tentait de renfrogner ces véritables sentiments par rapport à Henry Coleman. Il n'était qu'un fils à papa pitoyable qui avait suivit ces traces et qui pensait être la personne la plus importante du monde. Forcément il retomberait au sol un jour, et dieu, comment elle payerait cher pour voir ça! « Champagne ? » Comment pouvait-elle dire non à cette boisson dont elle avait prit goût; merci à sa mère qui lui avait interdit de consommer une coupe de ce divin liquide avant son mariage. Maintenant Cat était tout simplement accro. Elle allait à des événements uniquement pour avoir une coupe de ce liquide pâle. Elle ne fit qu'acquiescer de la tête. Pas besoin de plus. Les hommes n'aiment pas quand les femmes parlent de toute façon. Sauf peut-être dans le cas de Henry. Tiens, elle pourrait jouer avec cela dans un futur proche. « Je serai curieux de savoir ce qui t'as finalement décidé à venir me rejoindre. » Elle roule les yeux. Sérieusement? Cat décide de commencé à sortir son jeux. De façon théâtrale elle soupire et se redirige vers l'intérieur au lieu de s'asseoir à l'extérieur, et donne un coup à ces cheveux pour qu'ils flottent derrière son épaule. « Certainement pas pour être à l'extérieur. La cours des Whitelaw est assez grande, je pourrais m'y perdre! » Elle se plaint juste assez pour qu'il croit l'avoir dans sa poche. Elle prend une gorgée de champagne, laissant apparaître son cou, qu'elle masse de son autre main. « C'est plausible si j'avais tout simplement besoin de m'éloigner d'eux? C'est ennuyant rester toujours avec les mêmes personnes. » Elle dit cette phrase de sorte que Henry pense qu'il faisait parti de ces personnes avec qui elle avait envie d'être, pour ne plus 's'ennuyer'. Sa mère serait fière d'elle. Ou pas.

Henry le savait, avoir Cat Gallaghers dans la poche était un atout certain pour le jeune milliardaire. Qui plus est, si il pouvait l'avoir de son côté, ça lui éviterait de s'inquiéter du prochain coup des Whitelaw a l'égard de la famille Coleman. « Dois-je te rappeler qu'il s'agit tout de même de ma famille? Aie un peut de respect. » un sourire s'afficha sur le visage d'Henry, lorsqu'il referma la porte de son penthouse. Du respect ? Il n'en avait pour personne et encore moins pour les Whitelaw. Quelque part, il espérait que la jeune étudiante ne le contredise pas, ce qui voudrait dire qu'elle n'en avait rien a faire de sa nouvelle famille, ce qui aurait été un plus pour le jeune homme.  Il se contenta de ne rien dire et se rappela d'éviter les remarques désobligeantes sur ses concurrents directs. « Je suis capable de m'occuper de moi-même, merci. » renchérit la jolie brune. Elle avait du répondant, et même si à cet instant Henry comprit qu'elle ne serait pas aussi docile qu'elle paraissait, quelque part il aimait ça. Ce n'était un secret pour personne, les hommes aiment les femmes qui leurs résistent et qui ne disent pas oui à tout. Suite à l'acceptation du verre de champagne, Henry cogna doucement sa flûte de champagne contre celle de la jeune femme qui lui faisait face. Il ne pu s'empêcher d'en prendre une gorgée et de l'observer avec insistance. Puis il fut surpris de la voir retourner à l'intérieur suite à sa question. « Certainement pas pour être à l'extérieur. La cours des Whitelaw est assez grande, je pourrais m'y perdre! » dit-elle tout en faisant un mouvement avec ses cheveux. Henry écarquilla les yeux, peut être que la cours était grande mais elle n'avait pas cette vue imprenable sur la côte de Belmont Springs. Il essaya de ne pas faire une allusion désobligeante à sa famille. « C'est plausible si j'avais tout simplement besoin de m'éloigner d'eux? C'est ennuyant rester toujours avec les mêmes personnes. » surtout avec eux pensa Henry. « Et bien tu peux être sûre qu'avec moi tu ne vas pas t'ennuyer. » déclara t-il le plus sérieusement du monde. Tout le monde le savait à Belmont Springs, Henry était loin d'être le genre de personne avec qui vous passez votre après midi sur un canapé a regarder des télé-novas. « Je comptais te proposer ça, après que nous ayons fini la bouteille de champagne mais tu n'es visiblement pas venue pour ça. » Il déposa sa flûte de champagne sur la table puis lui fit signe de la tête de le suivre. Quelques pas plus loin, ils faisaient face a deux immenses portes. D'un geste élancé, il en ouvrit les deux portes d'un seul coup. Une immense salle de bain de marbre leur faisait face, au centre, une table de massage proposait diverses huiles de massages. « En toute bonne étudiante de médecine que tu es, j'imagine que tu sais à quel point c'est important de se détendre. » dit-il tout en la regardant avec envie, d'ailleurs ses yeux ne mirent pas longtemps a se déplacer sur la poitrine de la demoiselle. Il s'avança dans la salle de bain, puis il décrocha le peignoir qui se trouvait accroché au miroir. « Je suis sûre que tu ne dirai pas non à un agréable massage fait par Henry Coleman » dit-il tout en lui tendant le fameux peignoir.

« Et bien tu peux être sûre qu'avec moi tu ne vas pas t'ennuyer. » Dit-il certainement en pensant à la famille Whitelaw, ennuyante comme pas possible. Il avait probablement raison à quelque part. Mais Cat ne voulait pas l'admettre. Pas devant l'ennemi de sa famille, et donc de sa mère. Mais surtout de Leo. Pensé à lui dans un moment pareil n'était peut-être pas la meilleure idée du monde, d'ailleurs. « Je comptais te proposer ça, après que nous ayons fini la bouteille de champagne mais tu n'es visiblement pas venue pour ça. » Ces conclusions sont totalement véridique. En acceptant de rencontrer Henry, elle ne s'attendait pas à de grande manière. Après tout, elle croyait qu'il voulait lui soutirer des informations tout en couchant avec elle, tout simplement. Quelque chose de traditionnel. Sans avoir à se connaître, à se regarder trop longtemps. Mais il voulait la jouer en grand, la charmer pour qu'elle en dise plus. S'il y a une chose que Cat Gallagher n'aime pas, c'est bien les gens avec de l'argent qui cherchent à séduire et impressionné. Elle n'avait jamais été une partisane des grandes fortunes, de l'argent et ce qu'il faisait faire au gens. « En toute bonne étudiante de médecine que tu es, j'imagine que tu sais à quel point c'est important de se détendre. » Il a donc rechercher son nom sur le net, intéressant à savoir. Encore pas si mal qu'il est retenu que ces études de médecines. Elle se rappelle lorsqu'elle a eu le malheur de mettre son nom sur un chercheur web; d'affreuse photos d'elle plus jeune avec sa mère et en cheerleader. Cette dernière lui donnait les frissons. La salle de bain est impressionnante, très grande. Forcément, c'est la suite d'Henry le grand. Elle regarde la chaise de massage, se rappelant à quel point elle avait détesté cette session avec sa mère. Elle se retient le plus fort possible de rouler les yeux. Ça ne pouvait quand même pas être vrai. « Je suis sûre que tu ne dirai pas non à un agréable massage fait par Henry Coleman » Elle avait reçu un masseuse électronique pour son dernier anniversaire de la part de sa mère, pour la détendre en revenant des entraînement de boxe. Mais jamais elle n'avait pensé que Henry Coleman voudrait la masser. Elle qui croyait qu'il n'était bon que dans le sexe.... « Comment dire non! Et puis je doute que tu prennes un refus comme réponse. » Elle avale le reste du contenu de sa coupe de champagne et prend le peignoir remettant la coupe dans les mains de Henry. Sans même attendre, elle retire son chandail, étant maintenant dos à lui. Elle enfile le peignoir, pour retirer son pantalon, son soutif et ces chaussures. Elle fait une pile avec ces vêtements, ne restant qu'en petite culotte, refermant le peignoir sur elle. Après avoir rouler les yeux, elle se retourne avec un sourire. « En espérant que tu es apprécié la vue. » Dit-elle tout simplement en s'approchant de lui, se postant les deux mains sur les hanches. « J'imagine que maintenant je dois "m'étendre" sur cette table? » Elle regarde, et choisis de s'asseoir et ensuite de se coucher sur le ventre, dos vers le plafond. Hors de question qu'il lorgne sur sa poitrine encore plus longtemps.

Il voulait la séduire, il savait que Cat pouvait être l'arme secrète qu'il cherchait depuis longtemps contre les whitelaw et il comptait bien mettre tous ses atouts en matière de séduction et connaissances sur les femmes pour parvenir à ses fins. La salle de bain et le massage n'était pas quelque chose qu'il proposait à toutes les femmes qu'il avait ramené dans sa suite, à vrai dire même Dana n'y avait jamais eu le droit. Il espérait qu'avec Cat ce plan séduction fonctionne, après tout il n'avait qu'un seul objectif, mettre quelques parties de lui en elle et obtenir le maximum d'informations sur sa nouvelle famille. « Comment dire non! Et puis je doute que tu prennes un refus comme réponse. » dit-elle tout en avalant sa coupe de champagne. Henry leva les yeux au ciel et acquiesça, peu de femmes lui résistait c'était vrai et peu importe si elles le faisaient parce qu'il était riche ou parce qu'il avait une réputation de mec doué au lit. Cat lui tendit sa coupe de champagne qu'il reposa immédiatement sur le lavabo. Elle ne mit pas longtemps a accepter le peignoir qu'il venait de lui tendre, il aimait ce genre de femme, qui ne se pose pas de question et qui fonce tête baissée. Sans pudeur, elle enlève la plupart des vêtements qu'elle a sur le dos. Henry est alors très attentif au spectacle, elle ne rechigne pas alors il en profite. Et même si cette petite Gallaghers n'a pas la taille mannequin, il aime beaucoup ce qu'il voit, elle est plutôt bien foutue pensa t-il. « En espérant que tu es apprécié la vue. » elle posa ses mains sur ses hanches, il admira alors encore une nouvelle fois la demoiselle a moitié nue et ne pu s'empêcher de faire un arrêt de quelques secondes sur sa poitrine. « Et comment » dit-il tout en se mordant la lèvre inférieure et en regardant la jeune femme de la tête aux pieds. « J'imagine que maintenant je dois "m'étendre" sur cette table? » il esquissa un sourire. « C'est le but oui, maintenant à toi de voir quelle partie tu préfères que je détende » dit-il en arquant un sourcil l'air coquin, presque pervers. A son plus grand regret la jolie brune décida de se coucher sur le ventre, dommage, il aurait bien aimé voir d'encore plus près les deux jolies atouts qu'elle venait de lui montrer, tant pis il se contenterait de ses fesses. Une fois allongée, il lui enleva avec délicatesse le peignoir qui cachait son corps. Il ajouta un peu d'huile sur ses mains, il en prit une au hasard, de toute façon il ne s'y connaissait pas vraiment et commença à l'étaler sur le dos de Cat. Il fit des vas et viens avec ses mains sur le dos huilé de la jeune femme, insistant parfois un peu trop près des côtes … Il ne mit pas longtemps à s'attaquer à ses jambes et remonta dangereusement près des parties intimes de la jeune femme, il était curieux de voir si elle allait dire quelque chose. « Tu apprécies ? » demanda t-il tout en jetant un œil à son visage pour observer sa réaction.

« Et comment » Elle roule les yeux. Cat finit par aller se coucher sur la table, malgré son cerveau qui fait une grande négation de la tête. Quelle mauvaise idée, encore une fois, de venir dans cette suite avec Henry Coleman, ennemi juré des Whitelaw. Rival en plus. Elle se foutait les deux pieds dans de la merde. Sa mère ne serait certainement pas très heureuse si elle l'apprenait. Et elle n'osait même pas pensé ce que William Whitelaw ferait. Et Henry ne la protègerait sûrement pas si elle venait à se faire jeter dehors de chez elle. Cat devait donc être très subtile et prendre deux fois plus de précautions. C'est sûrement la raison principale du pourquoi elle avait été chercher deux pilule plan B. Pas question qu'elle est l'enfant bâtard de Henry Coleman. Aucunement question. Même pas une option! « C'est le but oui, maintenant à toi de voir quelle partie tu préfères que je détende » Sa réponse lui donne sa réponse; elle se couche sur le ventre. Pas question qu'il lorgne et détende sa poitrine. Et à vrai dire, à peine eut-il commencé, qu'elle regretta. Il massait son dos d'abord. Bon, ça pouvait aller. Puis ces mains glissaient, trop prêt de sa poitrine. Ces jambes, trop prêt de ces parties intimes. Elle ne chigna pas, mais voulu crier et grogner, intensément pour lui faire comprendre bien clairement qu'elle n'appréciait pas qu'il veuille aller droit au but. « Tu apprécies ? » Elle sourit et roule les yeux. « Tu en profites. » Fini-t-elle par dire. Non pas en tant que question mais plutôt de suggestion. « Ne te gênes pas surtout, tu sembles hésiter. » Elle décide de jouer avec lui, avec son mental. Elle feint l'hésitation de Henry, comme s'il était un gamin avec une femme experte. Elle se dit que de cette façon il penserait l'avoir sous sa patte, la manipulant comme il voulait, alors qu'au fond, tout ce qu'elle voulait, c'était pensé à autre chose que les Whitelaw. Mais jamais, elle n'osera dire qu'elle apprécie ce qu'il fait. Elle risquerait de mourir d'étouffement. C'était bien trop dangereux. « Tu pourrais peut-être te dévêtir un peu, que je puisse regarder quelque chose d'agréable, moi aussi. Sauf si bien sûr tu as un complexe de poids. » Elle se mord doucement la lèvre pour empêcher un rire de les traverser. Elle est cruelle.

L'opération séduction avait belle et bien commencé. Cat Gallaghers était dorénavant sur la table de massage, le plan se déroulait à la perfection pensait Henry. Lui qui avait peur du petit caractère de la jeune femme, pour l'instant, il n'avait rencontré aucun obstacle à sa mission « mettre Cat Gallaghers » dans son lit. Elle était plus docile qu'elle ne pouvait paraître finalement pensa t-il tout en massant chacune des parties de son corps. Elle avait une jolie peau, la jeune femme prenait soin d'elle, il n'y avait aucun doute. De toute façon Henry Coleman était loin d'être le genre d'homme a sortir avec des femmes dont leur garde robe n'est composée que de joggings. Alors qu'il lui demande si elle apprécie, il ne peut s'empêcher de se réjouir lorsqu'il aperçoit le sourire de la jolie brune. « Tu en profites. » dit-elle alors. Oui c'était vrai mais après tout, toute femme qui se respecte ne se met pas en petite tenue sur une table de massage si elle n'attend pas quelque chose en retour. Ce quelque chose, Henry était tout à fait prêt à lui donner et son service trois pièces ne pouvait le contredire. « Ne te gênes pas surtout, tu sembles hésiter. » Un fin sourire se dessina sur les lèvres du beau brun, ça y est, il pourrait enfin commencer les choses sérieuses. Car même si masser ne le dérange pas, ce n'est pas le moment qu'il préfère dans la course à la séduction. Alors qu'il continue de faire des va et vient sur tout le corps de la demoiselle, celle ci lui suggère de se déshabiller. « Tu pourrais peut-être te dévêtir un peu, que je puisse regarder quelque chose d'agréable, moi aussi. Sauf si bien sûr tu as un complexe de poids. » un petit rire échappa à Henry lorsqu'elle mentionna le complexe de poids. Si le beau milliardaire avait bien un atout en plus de sa belle gueule, c'était son corps. Pourtant il ne l'entretenait pas particulièrement, il faut croire que le corps d'athlète parfaitement sculpté, c'est quelque chose d'inné chez lui. « Il n'y avait qu'à demander » Il commence par enlever sa veste de costard, en la jetant par terre, puis il continue en déboutonant doucement les boutons de sa chemise, comme pour faire monter la tension. Il l'a jette également par terre. Il n'oublie pas de retirer ses chaussures puis finit par ôter son pantalon de costard pour laisser apparaître son boxer calvin klein. « Alors est ce que ça te conviens comme ça  ? »Alors qu'il aurait pu tout autant enlever son boxer, il décide de monter à califourchon sur la jeune femme et de continuer de la masser comme si de rien n'était. Il appréciait et son pénis pouvait en témoigner.

Elle souriait malicieusement, ou du moins c'est ce qu'elle tentait de faire. « Il n'y avait qu'à demander » Elle se met un peu sur le côté, histoire d'admirer un peu la belle vu qui se présente à elle. Henry Coleman qui retire ces vêtements est un spectacle remarquable, elle doit l'avouer. Avec la grâce d'un dieu, ces mouvements sont fluides, comme s'ils étaient chorégraphier. Elle regarde toujours, le costard, la chemise, les bas, le pantalon, tout s'envole au loin et un sourire apparait sur son visage, elle se mord doucement la lèvre, le regardant de haut en bas. « Alors est ce que ça te conviens comme ça  ? » Cat se met à rire doucement. C'était déjà beaucoup mieux. Après tout elle détestait les jeux. Elle aimait que ce soit direct, et non pas une attente d'une heure. Elle avait toujours été comme ça, ce n'est pas la belle gueule d'Henry qui changerait ce côté d'elle. Elle répond du moins à sa question. « Beaucoup mieux! » Il se dirige vers elle, et elle le sent venir à califourchon pour continuer de la masser. Elle ne dit rien pendant quelques secondes, puis à la sensation étrange sur son postérieur elle lève la tête et feint froncer le regard comme si quelque chose la dérangeait. Bien sûr, Cat était bien trop intelligente pour ne pas avoir remarquer. Mais feindre l'innocence était encore mieux. « Il y a quelque chose qui... » Elle déplace sa main vers ces fesses pour sentir ce qui la 'dérangeait'. Elle fait un O avec sa bouche. « Oh. » Elle se retourne la tête vers lui et se mord doucement la lèvre. Sa main toujours prêt de son postérieur. Elle s'amuse à faire lever que pour le plaisir de la torture. « Oops! » Dit-elle avec un faux ton. Cat décide de finalement se retourner complètement vers lui, et de se relevé quelque peu pour le regarder dans les yeux. « Et si on passait au choses sérieuse au lieu de... tarder? Je ne suis pas très patiente. » Elle pose doucement sa seconde main valide sur le côté du visage de Henry en battant des cils, elle s'approche quelque peu pour embrasser le coin de sa bouche, furtivement, puis elle l'embrasser de nouveau, restant un peu plus longtemps. Elle jouait avec lui, tentait de le contrôler, et jusqu'à maintenant, elle faisait un bon job. Elle aurait eu envie de se donner une tape dans le dos pour se féliciter, mais ne le fit pas, étant un peu trop occupé en ce moment.

La façon dont Cat le regardait se déshabiller faisant comprendre à Henry qu'il était sur la bonne voie pour conquérir la jeune gallagher. Il faut dire que ce corps d’Apollon ne laissait aucune femme indifférente même celles qui le détestait ne dirait sûrement pas non à une partie de jambes en l'air avec le jeune milliardaire. Alors qu'il continue de la masser délicatement, n'oubliant pas que quelque chose semblait au garde à vous et trouvant plaisant de se frotter gentiment contre le postérieur de la jeune femme. « Il y a quelque chose qui... » elle déplace alors sa main sur le service trois pièces d'Henry ce qui le fait légèrement reculer en arrière surpris qu'elle prenne les choses si vite en mains. « Oh ... » dit-elle alors comme une jeune fille innocente, Henry savait pertinemment qu'elle savait très bien ce qu'elle faisait. D'ailleurs, lorsqu'elle détourna la tête vers lui, il aperçut son air coquin. C'est alors qu'elle commence à lever son postérieur, Henry n'en peux déjà plus mais ne préfère pas trop brusquer la jeune femme, après tout le but est de l'avoir de son côté, pas de la forcer à avoir une relation sexuelle, même si elle semble plutôt avenante. « Oops ! » finit-elle par dire. C'est à cet instant qu'elle se retourna, il avait une vue magistrale sur sa sublime poitrine. « Et si on passait au choses sérieuse au lieu de... tarder? Je ne suis pas très patiente. » « Aucun problème » répondit Henry qui n'en pouvait déjà plus. Cat commença alors à l'embrasser au coin de la bouche, avant de se rapprocher dangereusement de ses lèvres toutes entières. La tension est insoutenable, ni une ni deux, il s'approche de sa bouche pour venir lui donner un baiser enflammer. Sa respiration s'accélère, et il ne met pas longtemps à lui arracher le seul vêtement qui reste à la jeune femme. Il fait de même avec son boxer, il est maintenant paré à l'action et en pleine forme. De longues minutes s'écoulent dans un rythme effrénée entre les deux corps des deux protagonistes, de la table de massage, en passant par le sol, pour terminer contre le mur. Il avait tout donné, comme à son habitude. Si Henry Coleman avait bien un atout, c'était sa façon de satisfaire les femmes. Une fois terminé, il s'éloigna de Cat avant de souffler. « Wah » dit-il tout mettant les mains sur ses hanches et en tentant de reprendre son souffle. Il alla alors vers le lavabo de la salle de bain puis se servit un verre d'eau, il le bu d'une traite avant d'en servir un deuxième et de l'apporter à Cat. « Que dirais-tu de prendre une douche, maintenant ? » dit-il en désignant la douche d'un coup de tête.

Ces faits et gestes, sa réaction, lui déclenche un sourire intérieur plus que malicieux. Il recule quelque peu, ce qui aurait pu être prévisible. Bien sûr qu'elle faisait exprès, il le savait autant qu'elle. Henry Coleman était un spécimen, mais il s'attardait un peu trop aux détails. Bon d'accord, il était en mission séduction histoire d'avoir des potins juteux sur sa belle-famille, les Whitelaw. Si seulement il savait qu'elle les détestait autant qu'il pouvait les détesté... Ou qu'eux la détestait. Une grande et seule histoire de haine entre tous et chacun. Magnifique! Après avoir fait semblant d'être innocente, elle décide de se retourner. N'ayant plus le peignoir sur elle - préalablement enlevé par les soins de Henry - elle se retrouve donc presque nu à l’exception de sa petite culotte. Elle est consciente de ce qu'elle fait, depuis le départ. Elle sait pourquoi elle se trouve dans cette pièce. « Aucun problème » Répond-t-il à sa demande de ne plus tarder. Et comme ça, en quelques minutes, elle obtenu ce qu'elle était venu chercher au tout départ; soit du sexe. Aussi simple que cela semblait. La table massage devint rapidement sujet du passé, le sol aussi. Elle finit donc debout contre un mur. Ce qui, lui était étranger. Henry s'éloigne et elle se retrouve seule, contre ce mur. Cat retient l'envie de se plier en deux pour reprendre son souffle comme lorsqu'elle fait une course. Elle reste droite, prenant appuie contre ce même mur. « Wah » C'était le cas de le dire. La réputation de Henry le suivait plus que bien. « Sérieusement?! Comment est-ce-que tu fais! Juste... wow. » Dit-elle en finalement se penchant vers l'avant pour respirer, reprendre son souffle. Elle venait de courir un marathon, du moins c'était tout comme. « Rappelle moi de mettre ton numéro en spead dial. » Elle le regarde aller prendre son verre d'eau, louchant sur son corps parfait. Elle se contrôlait assez bien pour ne pas baver. « Que dirais-tu de prendre une douche, maintenant ? » Bien que normalement elle aurait refusé l'invitation, elle avait envie de rester un peu plus longtemps avec lui. Et de toute façon, elle devait attendre qu'il lui demande pour les Whitelaw. « Avec joie. Je ne veux pas ruiner Prada. » Elle désigne son chandail de tout à l'heure avec un sourire, se redressant et s'approchant de Henry, allant vers la douche, qu'elle tente de réglé mais qui ne fait qu'être frigorifié. « D'accord, j'ai besoin d'aide. Je ne suis pas encore habitué à... tous ces trucs... ultra-moderne... de riche. Et puis tu me distrais avec ton corps d’Apollon trop parfait. Viens m'aider! » Lui ordonne-t-elle complètement gelée à côté du jet de la douche.

Henry avait beau avoir de l'expérience à matière de sexe, la jeune Gallagher était bien plus douée qu'il ne l'aurait cru. Elle était jeune, certes, mais semblait bien plus à l'aise que certaines femmes de plus de vingt cinq ans avec qui il avait pu coucher. « Sérieusement?! Comment est-ce-que tu fais! Juste... wow. » dit-elle tout en tentant de reprendre son souffle. Quant à Henry il ne peut s'empêcher d'esquisser un sourire, suivit d'un regard qui voulait dire « et encore, tu n'as pas tout vu. » « C'est ce qu'elles demandent toutes ! Mais je te rassure, tu y as été pour beaucoup. » dit-il tout en effleurant sa poitrine. Il n'oublia pas de la complimenter. Après tout, il ne fallait pas oublier qu'il espérait bien qu'après cette partie de jambe en l'air déchaînée, elle soit plus apte à lui révéler des informations sur les Whitelaw. « Rappelle moi de mettre ton numéro en spead dial. » Il s'approche alors des vasques, là ou Cat y avait déposé sa petite pochette contenant son téléphone portable. Sans aucune gêne, il l'ouvre, et y enregistre son numéro en prenant soin de mettre son patronyme en lettres majuscules. De cette façon, la jeune femme ne l'oublierait pas, même si avec ce qu'il venait de se passer, ce ne serait sûrement pas le cas. Henry secoua alors le téléphone en le montrant à Cat. « Voilà qui est fait. » il prit soin de reposer le téléphone à l'endroit même ou il l'avait trouvé.  « Avec joie. Je ne veux pas ruiner Prada. » Henry souri, il espérait bien qu'elle n'allait pas refuser cette proposition. Il l'a regarda alors se diriger vers la douche, reluquant son corps encore une fois, il ne se lassait pas du spectacle.  « D'accord, j'ai besoin d'aide. Je ne suis pas encore habitué à... tous ces trucs... ultra-moderne... de riche. Et puis tu me distrais avec ton corps d’Apollon trop parfait. Viens m'aider! » dit-elle alors tout en sautillant dans la douche tant elle semblait avoir froid. Henry arriva alors, la douche avait beau être grande, il se positionna derrière Cat et passa son bras au dessus de ses épaules. Il commença alors à tourner les boutons dans le sens des aiguilles d'une montre pour régler la température et la puissance du jet. L'eau commença à couler. « Tu vois, ce n'est pas très difficile. » lui dit-il au creux de l'oreille se rapprochant encore un peu plus d'elle. Il s'écarta ensuite, la tension était de nouveau intense, il attrapa le gel douche qui se trouvait non loin avant de commencer à se laver comme si il sortait tout droit d'une pub. « Maintenant qu'on a fait plus amples connaissances, j'aimerai en savoir plus sur toi. » dit alors Henry, sous entendu, j'aimerai que tu me racontes des choses croustillantes sur les Whitelaw. Il préférait cependant prendre des pincettes et qu'elle parle d'elle, les femmes adorent ça.

Un sourire suivit d'un regard qui lui donne envie de s'enfuir à toute enjambé. Le même regard que son coach de boxe lui donnait quand elle pensait que tout était terminé. Difficile d'oublier ça. Elle s'éclaircit la gorge. Elle n'est pas faible, elle peut y arriver. Ce n'est pas comme si Henry avait une force surhumaine. « C'est ce qu'elles demandent toutes ! Mais je te rassure, tu y as été pour beaucoup. » Elle se met à rire, sans le moindre voile. "C'est ce qu'elles demandent toutes". Elle le ne peut s'arrêter. Cat n'est pas comme toutes les autres femmes, elle est unique et spéciale. Et s'il voulait vraiment qu'elle fonde et craque pour lui donner des infos, il devrait peut-être en mettre un peu plus. « Elles? Je croyais être la seule, tu m'en vois vexé, Henry. » Dit-elle un air faussement innocent et vexé sur le visage. Après une blague sur le speed dial, il part chercher le téléphone de Cat, ce qui la surprend mais en même temps, c'est Henry Coleman, donc rien ne l'étonne. Il lui montre le téléphone comme preuve. « Voilà qui est fait. » Et bien dis-donc. Il avait bien aimé cette escapade dans les verger de Cat! Bien qu'il ne pouvait le dire ou prétendre. Quelques minutes après, elle se retrouve dans la douche, parsemé d'eau glaciale qui lui font déjà regretter de ne pas avoir attendu qu'il le fasse pour elle. Mais bien sûr, Cat, l'incertaine et irrécupérable, décide de le faire. Henry, en sauveur arrive derrière elle pour régler la température. Elle se sent soudainement soulagé. « Tu vois, ce n'est pas très difficile. » Trop prêt de son oreille, Cat peut déjà sentir la tension remonté. Et merde, elle vient à peine de se remettre de ces émotions fortes, elle n'est pas encore prête pour le deuxième round. « Maintenant qu'on a fait plus amples connaissances, j'aimerai en savoir plus sur toi. » Ouf. Elle soupire, soulagé. C'est le cas de le dire! Elle se retourne et voit du savon non mousser sur le torse de Henry. Elle ne se gêne pas et le prend d'une main commençant à se savonner elle aussi. « Et par moi tu veux dire, les Whitelaw. Pour faire court, ce sont des crétins. Ray est retourné à la villa, à mon grand désespoir. Leo est revenu en ville après le mariage et il garde sa résidence assez secrète. Pour Edouard, comme toujours, il joue au con avec son père et il est plus qu'exécrable avec ma mère. » Elle se penche le coup, histoire de pouvoir mieux le détendre, son regard toujours rivé sur Henry. « Ils sont assez distant depuis que le grand William a épousé mon idiote de mère. Du moins ça donne ça lorsqu'on lit leurs pensés. » Elle s'approche doucement de Henry posant une main sur son torse, s'approchant de son oreille. « En réalité... le meilleur potin... se passe dans cette pièce même. Le genre à faire sortir les yeux de la tête de tous ces Whitelaw. » Elle met l'accent sur le 'tous', un rictus prenant forme sur son visage.

Elles? Je croyais être la seule, tu m'en vois vexé, Henry. » Henry esquissa un sourire. Heureusement que Cat n'était pas la seule sur son tableau de chasse, sinon il ne serait pas le fameux Henry Coleman de Belmont Springs. Il s'amusait parfois de sa réputation en disant qu'il était certainement le lieu le plus attractif de la ville. Le pire c'est que ça marche, bon nombre de femme ont accepté de le suivre dans sa suite après cette affirmation. Bien sûr elles étaient un peu soûles mais il préférait éviter de le mentionner.  « Et par moi tu veux dire, les Whitelaw. Pour faire court, ce sont des crétins. Ray est retourné à la villa, à mon grand désespoir. Leo est revenu en ville après le mariage et il garde sa résidence assez secrète. Pour Edouard, comme toujours, il joue au con avec son père et il est plus qu'exécrable avec ma mère. » Henry écarquille alors les yeux, Cat semblait beaucoup plus futé que ce qu'il ne croyait. Elle lui avait dit tout ce qu'il souhaitait entendre. Visiblement ça ne l'embêtait pas de le renseigner sur sa demi famille. Il aurait peut être du jouer cash avec elle, et lui demander directement mais il aimait croire que ses performances sexuelles y étaient pour beaucoup. Si il pouvait récupérer quelques infos sur ses ennemis tout en prenant du plaisir pourquoi pas après tout, sans compter que la jeune Gallagher était beaucoup plus douée qu'il ne le pensait.  « Ils sont assez distant depuis que le grand William a épousé mon idiote de mère. Du moins ça donne ça lorsqu'on lit leurs pensés. » Henry acquiesça, ça ne l'étonnait pas, les Whitelaw étaient le genre de famille sectaire, à ne laisser personne entrer dans leur petit monde, qui que ça pouvait être. Cependant, il resta bloqué sur l'information que Cat venait de lui donner pourquoi est ce que Léo gardait sa résidence secrète ? Oui car après tout, celui qui détestait le plus dans cette famille c'était son ancien ami, celui avec qui il avait partagé tant de choses et qui avaient préféré l'évincé parce qu'ils avaient couché avec sa pseudo copine de l'époque. Henry avait toujours pensé qu'entre potes on partageait tout, ce jour là il s'était trompé.  « En réalité... le meilleur potin... se passe dans cette pièce même. Le genre à faire sortir les yeux de la tête de tous ces Whitelaw. » Henry sourit machinalement, mais il était toujours bloqué sur ce que la jolie brune lui avait dit. « Tu sais pourquoi Léo tient à garder l'endroit ou il vit plutôt secret ? » demanda t-il le plus innocemment du monde, ce qui soit disant passant ne lui allait pas du tout. Cette question le turlupinait, et si il y avait quelque chose à creuser derrière ça, il serait le premier à le faire. « peu importe » il ne voulait pas paraître trop indiscret même si Cat semblait plutôt ravie de lui donner ce genre d'informations. « J'espère que tu es prêtes » lui glissa t-il à l'oreille en tenant fermement ses hanches.

Un grand sourire sur le visage, Henry doit être bien content qu'elle est décidé de parler. Enfin, ce qu'elle a dit n'est pas scandaleux et ne risque pas de ternir la réputation des Whitelaw. Fort heureusement! « Tu sais pourquoi Léo tient à garder l'endroit ou il vit plutôt secret ? » Elle réfléchit et tente de savoir. La question ne lui a jamais frappé l'esprit. Et pourtant, s'il y en a bien une qui cherche à tout savoir de Leo, c'est bien elle. Mais à quelque part, Henry semble être plus affecté par les potins sur Leo que sur les autres. Intéressant. Peut-être touche-t-elle une corde sensible du côté de Leo en prenant du bon temps avec Henry. Elle pousse cette pensée ailleurs. Ce n'est pas le temps pour ça. « peu importe », finit-il par dire. Mais dans son fort intérieur, Cat est bien loin d'avoir terminé avec ces questionnements. Pensés ailleurs, yeux ne regardant même plus Henry fixement. Elle relève le regard. « Je... J'imagine qu'il ne veut pas se faire dérangé? Peut-être que quelque chose s'est passé, je ne sais pas. » Dit-elle finalement en laissant tombé le questionnement. Henry Coleman est un être intriguant et mystérieux qui ne semble pas se laisser marcher sur les pieds. C'est sûrement pourquoi il cherche tant à trouver des informations sur les Whitelaw. « J'espère que tu es prêtes » Ces paroles laissent présagé la suite. Ces mains tenant ces hanches, son regard, ces lèvres tout prêt de son oreille, le murmure de sa voix. Bon dieu. Elle n'est pas prête non. Pas pour une deuxième escapade dans les jardins de Henry. « Une deuxième fois?... Je dois vraiment être très spéciale. » Cat se mord la lèvre en le regardant. Sa tête est reculé afin de regarder les yeux de cet homme, de ce fabuleux homme devant elle. Elle dépose délicatement un doigt sur le nez du Coleman, et se marre. Elle sourit ensuite, toujours en regardant ces traits. Quelque chose chez lui est apaisant. Doux, calme. Elle se sent vêtu malgré la pluie qui coule sur son corps, malgré sa nudité apparente. Entouré des bras de Henry, elle ne peut rien lui refuser. Quelque chose l'hypnotise. Cat se perd dans son regard un instant et se rend compte qu'elle devrait se tenir loin de Henry. Elle est du genre à s'intéresser aux hommes qu'elle ne peut pas avoir ou qui sont déjà investi dans une relation. Leo est un parfait exemple. « Oh... je suis plus que prête. » Finit-elle par dire avec un air de défi dans la voix. Elle pose doucement ces mains sur le torse de Henry.