et du sel sur la plaie de ce coeur tatoué.

Invité

COSMO HURTLAKE

i'm quiet you know, you make a first impression, i've found i'm scared to know i'm always on your mind.

ft. jack falahee | © emmy et howie day

- nom complet : cosmo, draven, orion, hurtlake, des prénoms originaux pour un propriétaire relativement banal. le jeune homme esquisse toujours un petit sourire en coin lorsqu'il se présente, comme s'il se moquait de lui-même. la vérité, c'est qu'il se moque de ses parents, quelle idée d'offrir à son enfant un nom de cocktail. la plupart du temps, son nom de famille lui arrache une moue désabusée. les hurtlake sont excessivement connus dans le monde de la mode et de la haute société pour posséder hera, une société de vêtements de luxe. une célébrité dont il profite en dépensant de l'argent à tout va. la réputation de sa famille est comme un fardeau qu'il porte en enchainant les conneries, à l'abri du regard désapprobateur de son paternel qui ne se doute de rien tant qu'il rapporte de bonnes notes. - âge, date et lieu de naissance : vingt-quatre-ans, né le vingt-trois mars mille-neuf-cent-quatre-vingt-onze à los angeles. - origines et nationalité : si le jeune homme est américain, il possède des origines grecques, australiennes, et anglaises. - occupation, situation financière : étudiant en mode à l'université depuis quatre ans. cosmo rêve d'ouvrir sa propre collection de vêtements, quitte à utiliser l'influence de sa famille pour se lancer dans le grand bain. le jeune homme refuse catégoriquement de travailler pour son père. il espère s'éloigner assez rapidement de ses griffes acérées pour vivre sa vie comme il l'entend. ce qui ne l'empêche pas d'accepter les virements de son paternel qui garnissent confortablement son compte en banque plein à craquer. - statut civil : célibataire, le cœur bien trop endommagé par une romances douloureuse. ce type lui a arraché le peu d'espoir qui lui restait. un trou béant déchire aujourd'hui sa poitrine. l'amour ? il n'a plus envie d'en entendre parler. pas après tout ça. pas avant longtemps. à noter qu'il est le père d'un enfant dont il refuse l'existence. tous les mois, le jeune homme adresse un chèque à sa copine de l'époque pour la tenir hors de sa vie. il était jeune, il était con. il n'a pas vraiment changé. accepter d'être père, c'est grandir, c'est murir. c'est trop difficile. il n'a pas les épaules pour ça. - orientation sexuelle : le jeune homme est pansexuel et l'assume plutôt bien, même s'il n'en parle jamais vraiment avec le reste de sa famille. bien avant le sexe ou le genre, c'est la personnalité d'une personne qui l'intéresse. le reste n'est qu'un accessoire de plaisir. - traits de caractère : généreux, loyal, protecteur, fidèle, sensible, sarcastique, rêveur, passionné, peu soucieux de son image, manque de confiance en lui, secret, fêtard, menteur, impulsif, impatient, défaitiste, pessimiste, jaloux, possessif. - quartier de résidence : center drive. - groupe : wild rabbit.

my silver spoon has fed me good
la mode, ça le passionne. le tissu, les matières, les couleurs, il s'en abreuve. la mode, c'est son dada, son exutoire. ses fringues racontent des histoires, son histoire. il n'arrive pas à extérioriser ce qu'il pense, tout passe par son regard, par ses gestes. les trucs dangereux l'attire, il est comme un gosse à qui on doit tout refuser. il n'a aucune conception du danger, tant que ça l'amuse, il fonce. touche-à-tout, il multiplie les expériences. musique, chant, dessin, il n'arrive pas à se concentrer sur un hobby. l'art, ça l'intéresse. la musique surtout. son casque sur les oreilles, il se promène souvent dans la rue le soir, dissimulé derrière sa casquette et ses lunettes de soleil hors de prix. les tympans en vrille, la vie s'écoule plus paisiblement. il aime la nuit, cosmo. c'est un gosse des soirées, toujours fourré chez les uns et chez les autres, adepte des soirées les plus branchées du moment. les galas, ça le gonfle. le champagne et les petits fours, très peu pour lui. rien n'est meilleur qu'une bonne bière et un gros paquet de chips à ses yeux. les riches, il n'aime pas. surtout ceux qui se vantent. ceux qui te regardent avec un air supérieur parce que papa a de la thune. il déteste ces gosses de riches qui se la pètent. ironique quand on sait d'où il vient. mais lui, il est pas comme ça. ses potes ils connaissent le mot galère. ils savent ce que c'est de pas bouffer parce que la vie coute chère. ses potes, c'est toute sa vie. sans eux, il est rien cosmo. il a besoin d'eux pour exister. parce que tout seul, il arrive pas. et quand ça arrive, il pète les plombs. il picole. beaucoup trop. il tourne à l'excta, sans se soucier des gens qu'il rencontre. quand il est bourré, c'est un mec différent. il a l'impression de planer. d'être important. il a l'impression que le monde est à lui. et qu'il est au monde. au réveil, la gueule en sang et sa conquête allongée à ses côtés, il regrette. avant de recommencer le soir même. sans ses potes, c'est qu'un déchet. c'est pas un mauvais bougre, hein. il a juste du mal à se faire une place. il sait qu'il a un gosse, de sept ans. il s'appelle eliott le môme. il ne sait pas à quoi il ressemble. parfois, allongé dans son lit trop grand pour lui, il pense à lui. il se dit que son fils a besoin d'un père. qu'il est là, lui. et puis il éclate de rire. lui, un père ? et puis quoi encore ? déjà qu'il arrive pas à gérer sa vie. son gosse, il en veut pas. il en voudra jamais. il n'assume pas. pour lui, eliott n'est qu'une erreur de jeunesse. une très grosse erreur. il parle pas souvent à sa famille, cosmo. il les observe évoluer de loin, sans trop s'en approcher. y'a bien ces diners de famille, deux fois par mois. ça se termine toujours en disputes, en reproches. entre l'ainé qui fout sa vie en l'air, faye qui s'acharne à prouver à leur père qu'elle mérite de diriger l'entreprise et lui, le petit dernier, le vilain petit canard qui n'aura jamais sa part du gâteau. un gâteau à l'arrière gout de compétition et de lutte fratricide. pas pour rien qu'il s'est barré à sa majorité pour voler de ses propres ailes. l'argent de papa, il refuse jamais. le dépenser pour ses potes, non plus. c'est un mec généreux, cosmo. il donne sans jamais rien attendre en retour. quand il aime quelqu'un, c'est jusqu'au bout. dans le pire comme dans le meilleur. tomber amoureux, par contre... ça il sait pas. il sait plus. quand il a retrouvé cette lettre sur la commode de sa chambre, le monde s'est écroulé. ce type, c'était son rayon de soleil. sa motivation pour se lever le matin. et puis un jour, il s'est cassé. comme un voleur, en emportant le portefeuille et le cœur de cosmo. une carte bancaire, ça se remplace. pas le reste. il a même pas cherché à le retrouver. c'est pas le genre de mec à se battre pour une cause. se lamenter sur son sort, c'est tout ce qu'il sait faire. il aime se plaindre mais il ne fait rien pour changer les choses. on dirait pas comme ça, mais il est sensible cosmo. il cache ses émotions sous ses sourires ironiques. il balance des conneries pour montrer qu'il est fort, qu'il a pas besoin des autres. c'est un menteur. le pire de tous. du genre à dire que ça va alors qu'il est à deux doigts de se foutre en l'air à coup de vodka. c'est dur de le cerner. il attire souvent les bons samaritains, sans le vouloir. des gens qui veulent le voir s'en sortir. qui croient en lui. ces gens-là, cosmo leur rigole au nez. et puis un jour, ils disparaissent de sa vie. à force de rejeter l'attention des autres, sa solitude enfle. de jour en jour, elle gagne du terrain, comme une maladie qu'il n'arrive pas à éradiquer. et lorsqu'il est seul, ça va pas non plus. c'est toute l'ambivalence de ce gamin pourri gâté. il était pas comme ça quand il était gosse. c'était un petit garçon plein de vie, toujours à faire le con. et puis un jour, un truc s'est brisé en lui. il a jamais su recoller les morceaux. y'a un mythe qui raconte qu'on est jamais vraiment entier tant qu'on a pas trouvé son âme sœur. cosmo, il l'attend toujours la sienne. mais elle a du se perdre en chemin, cette conne.

we kings of cosmopolitan love and nihilistic suffering

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Trying to be perfect
Trying not to let you down
Honesty is honestly
The hardest thing for me right now

Il n'a qu'une envie, lui crier qu'il s'en tape. Qu'il en a rien à foutre de la réputation de la famille, qu'il a d'autres trucs en tête. Qu'il en a marre de vivre à travers lui, qu'il en peut plus. Mais Cosmo, il arrive pas à tenir tête à son père. Il évite toujours son regard, sa stature imposante. Son père, bien malgré lui, il le respecte. Il est rien sans lui. Alors quand son paternel lui demande de calmer le jeu, de faire profil bas, il obtempère. Il baisse les yeux devant son regard profond. Son père ne sait pas ce qu'il fait de ses soirées, dans son loft trop luxueux pour un gosse de vingt-quatre ans. Les bouteilles qui s'entassent, les vêtements perdus de ses conquêtes oubliées dès le matin, les mégots qui jonchent la surface de sa table basse... Son père lui demande de réussir ses études. De rester assez discret pour éloigner les éventuels potins. Rien d'autre. Et pourtant, le jeune homme a l'impression d'être un prisonnier. Un oiseau dans une cage dorée. Plus le temps passe et plus il se ferme à cette famille qu'il aimait tant auparavant. L'absence de sa mère n'arrange rien. Lorsque les talons de son père claquent sur le sol boisé du salon familial et qu'il s'efface derrière la porte, Cosmo pousse un soupir de soulagement. Une journée de plus à faire semblant. A sourire pour dissimuler ses véritables sentiments. Il n'est pas heureux. Rien ne semble le motiver depuis sa rupture. Cosmo, c'est le genre de mec qui tourne autour de la personne qu'il aime. Sans son soleil, son monde s'écroule inévitablement.

Elle souffle son plaisir à son oreille, les cheveux détachés. Ses mains sur son torse imberbe, elle dessine ses muscles d'un soupir satisfait. Impassible, il détourne le regard, sans vraiment lui accorder son attention. Une fille de plus. Elle ne représente rien d'autre à ses yeux. Elle n'est qu'un moyen de combler sa solitude grandissante. Ses gémissements résonnent dans la pièce sans réussir à arracher la moindre satisfaction à l'homme sur lequel elle danse. Et quand tout s'arrête et qu'elle s'allonge à ses côtés, Cosmo attrape une clope posée sur la table de nuit. La cigarette entre les lèvres, il l'observe. Il se demande ce qu'elle fait là. Les draps sont chauds mais son cœur est toujours froid. Coucher, ça ne fonctionne pas. Ça ne comble plus rien. Et pourtant il continue, comme si c'était ça la solution. Se perdre dans les bras des autres pour oublier. Pour s'évader. Pour vivre, enfin. Barre-toi. Les mots brisent le silence. Impétueux. Presque agressif. J'dors pas avec mes plans culs. Il tire une latte sur sa clope, sans se soucier de son air scandalisé. Tu croyais quoi ? La main de la demoiselle s'écrase sur sa joue droite. Il ne bronche pas. Devant son silence, elle se lève et se rhabille. La porte claque. Son parfum plane quelques secondes dans la pièce, une odeur bon marché qui arrache une moue dégoutée au jeune homme. T'es qu'un pauvre con, Cosmo.

gnaw upon my roots:

Invité

jack est trop canon et j'adore j'adore j'adooore ce prénom. vraiment. beaucoup.
ET UN PERSONNAGE PAN JE. T'AIME. C'est trop rare et vive la représentation (insert pan pride here). et du sel sur la plaie de ce coeur tatoué. 664565584

et du sel sur la plaie de ce coeur tatoué. 664565584

En tous les cas, bienvenue ici, en espérant que tu t'y plaises! Et si tu veux un lien (que ce soit avec benny ou david) n'hésite pas, j'en serais ravi!

JACK.

et du sel sur la plaie de ce coeur tatoué. 3942113967

et du sel sur la plaie de ce coeur tatoué. 2972055460

Bienvenue parmi nous. I love you

Jack, le prénom, pansexuel, le début de ta fiche & le titre. Je sens que je vais adorer ton personnage.
bienvenue et du sel sur la plaie de ce coeur tatoué. 3811689614