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Leo Whitelaw
YOU'RE FULL OF ROT AND POETRY.
Leo Whitelaw


Inscription : 12/02/2015
Messages : 1165
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MessageSujet: {fake glory}   {fake glory} EmptyMer 25 Fév - 9:07




leo whitelaw
i am not violent. i am not malicious. i am a result.
ft. max irons | © suzak et premrose

- nom complet : Whitelaw, un nom qui se passe de toute explication, évocateur de tout un style de vie fait de prestige, de grandeur, d'abondance. Un nom qui lui aura ouvert autant de portes qu'il en fermées, un poids constant sur ses épaules. Leonard, son prénom, lui a été conféré par sa défunte mère. Communément surnommé Leo, il n'utilise son nom complet que pour des occasions formelles. - âge, date et lieu de naissance : Dans moins d'un mois, il fêtera son vingt-huitième anniversaire. Alors sera remémorée, célébrée, cette journée d'avril où il a poussé son premier cri, dans les collines de Beverly Hills, la quatrième de cette année-là.  - origines et nationalité : D'origine britannique, citoyen américain. Il a un peu de mal à se placer dans une des catégories. Trop anglais pour les Etats-Unis, trop américain pour le Royaume-Uni. - occupation, situation financière : Architecte de métier après plusieurs années d'études dans la prestigieuse université Stanford, il gagne suffisamment bien sa vie, stratégiquement loin de l'influence de sa famille. Il aime penser que son succès, il se le doit à lui-même, même s'il se doute bien que son nom ait eu quelque chose à voir avec son entrée dans une université de l'Ivy League.  - statut civil : Fiancé, tentant tant bien que mal de faire tenir son couple à flot. - orientation sexuelle : Il n'a jamais éprouvé d'attirance que pour la gente féminine. Hétérosexuelle, de toute évidence. Ou, du moins, jusqu'à preuve du contraire.  - traits de caractère : fougueux, extraverti, irritable, éloquent, provocateur, désinvolte, rusé, intense, audacieux, négligent, téméraire, charismatique, loyal, passionné, impulsif, impatient, entier, sanguin, ouvert d'esprit, bruyant, exubérant, esthète, capricieux, débrouillard, aimant.  - quartier de résidence : Il partage un appartement avec sa compagne sur Center Drive, Del Rey Oaks.  - groupe : Lone Wolf.

my silver spoon has fed me good
Né avec une cuillère d'argent en bouche, on la lui a cependant vite reprise. Depuis, on la lui agite devant le visage en espérant qu'il court après. Voici l'idée que William Whitelaw se fait de l'éducation. Ça a toujours été très peu pour Leo, généralement très peu réceptif aux manèges de son père. Très jeune déjà, il essaye de prendre ses distances. Mais malgré toutes ces bonnes intentions et sa haine envers les méthodes de son père, il ne peut s'empêcher de chercher à l'impressionner. Ce pourquoi il s'en veut. = La majeure partie de sa scolarité, il la passée dans un pensionnat anglais, le même que celui que son père a fréquenté. Ces années-là restent parmi les meilleures de sa vie. Cela explique pourquoi il arbore ce fort accent anglais, malgré qu'il soit natif de Californie. = Longtemps, l'un de ses seuls buts dans la vie a été de vaincre l'ennui d'une vie facile qui lui a été offerte sur un plateau doré. Pour ce faire, il n'a jamais semblé être à court d'idées. = Entier, l’honnêteté est la valeur qu'il préconise le plus, l'un des derniers enseignements qu'il ait retenu de sa mère avant que celle-ci ne décède. On dit souvent que Leo est comme un livre ouvert : il est tout bonnement incapable de mentir, aussi bien éthiquement que physiquement. De même, cet aspect de sa personnalité tend à le rendre très émotif et beaucoup plus sensible qu'il n'aime l'admettre. Quand il est en colère, il brûle d'une rage qu'il ne peut contenir. Quand il est triste, il tombe dans une abysse dont il ne peut se sortir. Quand il heureux, le bonheur rayonne à travers tous ses pores. Il ne fait rien à moitié. = Sa franchise, d'ailleurs, peut ne pas être au goût de tous. Ayant la fâcheuse habitude de dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas et d'exprimer ouvertement ses opinions même polémiques, cette honnêteté brutale lui a parfois valu quelques problèmes. = Il a toujours été doué avec les chiffres. Il trouve une qualité relaxante aux mathématiques : tout y est prévisible, calculable. Ainsi, il est commun de le voir résoudre des problèmes pour déstresser, une pratique qui se veut assez singulière. Mais il apprécie, pour une fois, de se sentir en contrôle - contrairement à son quotidien qui a tendance à le contrôler, lui. Il est, en outre, imbattable aux échecs. = Il aime se dépenser physiquement également, un autre moyen pour lui d'évacuer tous ces sentiments qui bouillonnent en son for intérieur. Lorsqu'il s'adonne à une activité sportive, il la pousse généralement à l'extrême et s'entraîne jusqu'à que tous les muscles de son corps soient endoloris. = Il a toujours pris l'argent de son père, son train de vie démesuré, pour acquis. A 18 ans, quand il prend enfin son envol, il découvre une réalité plus dure qu'il ne l'attendait : il a finalement compris ce que c'était d'avoir du mal à joindre les deux bouts. Une expérience qui se voudra enrichissante et et l'aidera à se forger un caractère plus indépendant, plus fier, plus responsable. Depuis qu'il est entré à l'université et jusqu'au jour d'aujourd'hui, il n'a pas accepté un seul sous de la part de son père. = S'il a beaucoup papillonné au cours de sa vie, sa relation actuelle est la seule relation sérieuse qu'il ait jamais connu. Cela fait 5 ans qu'il fréquente sa fiancée. Il ne s'attendait pas à se caser aussi tôt, mais il ne s'est certainement pas attendu à tomber aussi amoureux non plus.  

gnaw upon my roots:


Dernière édition par Leo Whitelaw le Ven 13 Mar - 8:31, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: {fake glory}   {fake glory} EmptyMer 25 Fév - 10:55



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this is the start of how it all ends
they used to shout my name, now they whisper it


Entre vous deux, la collision a toujours été inévitable. Vous étiez comme deux chauffards, deux fous à lier, qui foncent tout droit vers un impact certain, un terrible choc frontal, attendant que l'autre flanche en premier tout en sachant très bien que cela n'arriverait jamais. Vous courriez tout droit à votre perte, vous le saviez, vous n'en n'aviez que faire. Vous étiez comme ça, habités par ce même feu qui, quand il n'était pas contenu, consumait tout sur son son passage. Vous représentiez la même chose l'un pour l'autre : à la fois une force qui semblait infinie et une faiblesse mortelle. Votre meilleur allié, votre pire ennemi. Ce n'était pas parfait - Dieu sait que vous êtes loin d'êtres parfaits, vous-mêmes - et il vous arrivait de vous détester passionnément, mais vous vous aimiez inconditionnellement, complètement, défauts compris.  Vous partagiez ce lien qui transcende les mots. Personne ne vous comprenait et il était de toute évidence vain d'essayer, vous en étiez rarement capables. Mais c'était vous. Et puis, que s'est-il passé ? Le feu a fini par s'éteindre, tu supposes. Par s'asphyxier lui-même. Vous brûliez, aveuglés par votre propre lumière, perdu dans votre frénésie. Maintenant vous n'êtes plus qu'un tas de cendres.  
__________________________________

Il se souvient encore parfaitement de la première fois où il l'avait aperçue. Il ne croyait pas au coup de foudre, à l'amour dès le premier regard échangé. Il n'y croit toujours pas. Non, ce n'était pas de l'amour. C'était une sorte de fascination, dénuée d'affection à proprement parler, qu'il ne s'explique toujours pas : il avait ce besoin presque physique de découvrir son nom. L'amour n'est apparu que beaucoup plus tard. Ils avaient longuement discuté et il avait appris à la connaître. Il connaissait son groupe préféré, la manière dont elle prenait son café. Il savait à quel point elle aimait passer du temps à la bibliothèque, perdue dans son monde, ou partir pour des virées en voitures improvisées. Il remarquait ses petits détails qui semblaient insignifiants, comme son habitude de se passer la main dans les cheveux ou de se mordre la lèvre quand elle n'était pas totalement honnête. C'était toute ses petites choses qui ont fait qu'il était certain, certain de vouloir passer le reste de sa vie avec elle. C'était aussi simple que cela, il s'est réveillé un matin avec cette certitude, apparue comme une évidence, à la fois comme une découverte une une chose qu'il a toujours su au plus profond de lui-même. Alors il s'est empressé de lui dire. Il lui a dit qu'il ne voudrait jamais de qui que ce soit d'autre. C'est cependant beaucoup plus tard que ça s'est officialisé. Ils étaient maintenant tous les deux diplômés, ils ont leurs vies plus ou moins entre les mains. Ils sont ce couple que tout le monde envie et déteste en même temps, ce couple qui a tendance à se montrer parfois un peu trop proche en public, si bien que ça en est parfois inconfortable. Ils se disputaient fréquemment, les nombreuses assistes éclatées en étaient les témoins infaillible. Mais ils étaient heureux. Ils avaient leur petit nid, leur vielle camaro et leur labrador. Alors, ils décidèrent d'officialiser tout ça, de se promettre de s'aimer à jamais aux yeux de tous.  Et puis la vie est arrivée. Ils ont commencé à perdre leur équilibre. Leurs carrières respectives en demandaient beaucoup, ils finissaient par seulement se croiser au sein de leur foyer. Ils s'aimaient toujours, c'est certain, mais il s'avérait que ce n'était pas suffisant. Ils n'étaient plus aussi jeunes, ils n'étaient plus aussi fous, les illusions s'étaient envolées.

I heard you got a love call from back home. Some kind of huge project ? Elle est la première à briser le silence. Dans sa voix, une note qu'il n'apprécie pas. Il soupire. Right. Son ton montre qu'il ne souhaite pas s'étaler sur le sujet, les yeux rivés sur son assiette. Le silence s'installe à nouveau. Lourd. Une tension presque palpable qu'ils sont incapables d'ignorer, aussi bien l'un que l'autre. A nouveau, elle prend la parole. Ce n'est plus une note d'amertume, mais une colère qu'elle ne dissimule même pas qu'il entend. So you get that a lifetime opportunity and I have to hear it from someone else ? You didin't think I was worth telling to ? Do you have any idea how stupid I looked when they asked me why you didn't accept it when I didn't even know you ever got asked ? Il prend une longue inspiration et pose ses couverts sur la table. Finalement, il croise son regard. Elle est honnêtement blessée, il peut le lire sur ses traits. I didn't tell you because it wasn't worth discussing at all. I didn't even consider it. I'm not going back there. That's all. Il espère que cela a été suffisant pour l'apaiser, mais il se doute que ce n'est pas le cas. Ils ont déjà eu cette discussion. Et ça ne s'est jamais arrêté là. To stay away from your family, right ? A family you seem to hate but not really. Elle marque une pause, avant de reprendre. I family I never met. And we're getting married in a few months. Are you ashamed of me ? Because I'm not from your world ? Il sent la rage monter progressivement. Il n'aime la tournure que la soirée prend. A bout, il sait qu'elle ne pourrait que mal terminer. Stop it, you're just being ridiculous. Il se lève, prêt à s'en aller. En plus de sa colère montante, il est perplexe. Comment agir comme une personne raisonnable quand elle est supposée être la plus sensée des deux ? Where do you think you're going ? I'm not done talking.   Il répond directement : I am. This conversation isin't going anywhere. Elle se lève à son tour. You should take the offer. I'll come with you. We'll move there. See if we can work things out. It just doesn't work anymore. I'm sorry, but if we're not doing this, we're through. Il a sait qu'il a perdu. Parce qu'il ne peut la perdre, elle.
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